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Rashid est né le 10 Mars 1985. Il est le 5eme enfant de la famille Debbouze. Il a décidé de se lancer lui aussi dans le stand up / one man show et il s'essaie aussi comédien.
Il a commencé sa carrière le 6 mai 2008 par un one man show intitulé "Rashid, Ombre et Lumière" joué tous les mardis et mercredis au Théâtre du "Petit Gymnase" à Paris qu'il continuera ensuite de jouer à partir du 13 février 2009 son spectacle au Théâtre "Les Feux de La Rampe" à Paris.
Courant mai 2010, il est en tournage pour son premier film entre Marseille et le Nord pas de Calais pour les besoins du dernier film de Philippe Faucon, Kamikaze, qui a laissé place au titre "La Désintégration".
Sortie le 15 février 2012 au cinéma du film "La Désintégration" dans lequel Rashid joue le rôle d'Ali.
Il a commencé sa carrière le 6 mai 2008 par un one man show intitulé "Rashid, Ombre et Lumière" joué tous les mardis et mercredis au Théâtre du "Petit Gymnase" à Paris qu'il continuera ensuite de jouer à partir du 13 février 2009 son spectacle au Théâtre "Les Feux de La Rampe" à Paris.
Courant mai 2010, il est en tournage pour son premier film entre Marseille et le Nord pas de Calais pour les besoins du dernier film de Philippe Faucon, Kamikaze, qui a laissé place au titre "La Désintégration".
Sortie le 15 février 2012 au cinéma du film "La Désintégration" dans lequel Rashid joue le rôle d'Ali.
RASHID, OMBRES ET LUMIERES
Avoir un nom célèbre est-ce un avantage ou un inconvénient ? C'est à cette question que tente de répondre Rashid Debbouze à travers des anecdotes et son parcours personnel dans son spectacle "Ombre et lumière" ou il interprète une ribambelle de personnages tous plus attachants les uns que les autres. De plus il allie avec brio, stand up et one man.
Un premier spectacle que Rashid a joué au Théâtre du Petit Gymnase et au Théâtre Les Feux de la Rampe en 2008 et 2009.
Avoir un nom célèbre est-ce un avantage ou un inconvénient ? C'est à cette question que tente de répondre Rashid Debbouze à travers des anecdotes et son parcours personnel dans son spectacle "Ombre et lumière" ou il interprète une ribambelle de personnages tous plus attachants les uns que les autres. De plus il allie avec brio, stand up et one man.
Un premier spectacle que Rashid a joué au Théâtre du Petit Gymnase et au Théâtre Les Feux de la Rampe en 2008 et 2009.
Interview de Rashid Debbouze datant de 2009.
Bonjour Rashid, quel est votre parcours ?
Mon parcours n’est pas énorme parce-que je débute. Je raconte toute ma vie sur scène : les castings, mon passage à New York et mon retour sur Paris. J’ai arrêté l’école très tôt pour pouvoir voyager. Je voulais apprendre les langues, je suis donc allé dans les pays anglo-saxons : Angleterre, Canada et États-Unis, j’ai testé des sketches en anglais là-bas, c’était top !
Vous aviez seulement 11 ans quand votre frère Jamel Debbouze a commencé à être connu, c’est lui qui vous a donné envie de faire de la scène ?
Oui c’est lui qui m’a poussé à monter sur les planches, depuis que je suis petit je le suis partout. C’est mon « papa ». Si je suis sur les planches aujourd’hui c’est grâce à lui, c’est lui qui m’en a donné envie !
Vous avez fait la première partie de Booder au théâtre du petit Gymnase à Paris, comment l’avez-vous rencontré ?
Oh Booder je le connais depuis que je suis petit ! En fait, si j’ai fait sa première partie c’est grâce à Dominique Coubes, le directeur artistique du théâtre : je suis allé le voir, je lui ai dit que j’avais un spectacle alors que je n’avais rien à part deux ou trois vannes qui duraient 5 minutes. Il m’a fait confiance et m’a dit que si mes 10 minutes étaient bonnes il me laisserait la salle tous les dimanches pendant deux mois. J’ai donc fait la première partie de Booder et ça a été super, j’ai même eu une standing ovation !
Comment est né votre spectacle actuel ?
Dominique Coubes a tenu sa promesse: j’ai eu la salle tous les dimanches pendant deux mois. Cette fois, c’était totale impro ! Il n’y avait que 15 minutes d’écrit et le reste n’était que de l’impro, c’est comme ça que le spectacle actuel est né … Grâce à Dominique Coubes en quelque sorte !
Votre spectacle s’appelle « Rashid », pourquoi ?
Parce-que je ne veux pas utiliser mon nom. Si je monte sur les planches c’est pour qu’on me reconnaisse par rapport à ce que je fais, pas en tant que « frère de Jamel Debbouze ».
Être comparé à votre frère est inévitable, cela vous dérange-t-il ?
Non ! C’est mon grand frère, il a marqué les esprits... Et de toutes manières, je reste le « frère de », puisque je suis le « frère de » ! Moi je veux lui faire plaisir, lui prouver de quoi je suis capable. Mais il y a une différence entre Jamel et moi : il fait du stand-up et moi un one-man show, j’interprète des personnages.
Envisagez-vous un jour de faire de la scène avec lui ?
Si ça se fait un jour bien sûr ! Mais aujourd’hui je dois faire mes preuves. C’est lui qui décide ! On pourrait essayer pourquoi pas de faire quelque chose mêlant stand-up et one-man show. Mais il faut vraiment pour l’instant que je fasse mes preuves.
Avez-vous d’autres projets en dehors de votre spectacle ?
Oui, avec toute ma petite équipe on veut vraiment faire beaucoup de choses. J’ai même des propositions extérieures pour des films. Mais pour l’instant je préfère me focaliser sur la scène, c’est ça que j’adore faire. Échanger quelque chose avec le public et m’amuser avec, c’est magnifique.
Le Jamel Comedy Club, ça vous aurait tenté ?
Non. Je trouve que c’est un tremplin énorme pour ceux qui veulent faire du théâtre, mais j’aurais eu l’impression de voler la place de quelqu’un.
Et pour finir, est-ce que votre frère vous a fait part de son expérience personnelle pour vous conseiller ?
Bien sûr, c’est son truc ça ! A chaque fois qu’on se voit il me donne des vrais conseils, des conseils de grand frère. Il est vraiment derrière moi, c’est un réel soutien. C'est pour ça que je veux lui faire plaisir avec ce spectacle, qu'il soit fier de moi.
Bonjour Rashid, quel est votre parcours ?
Mon parcours n’est pas énorme parce-que je débute. Je raconte toute ma vie sur scène : les castings, mon passage à New York et mon retour sur Paris. J’ai arrêté l’école très tôt pour pouvoir voyager. Je voulais apprendre les langues, je suis donc allé dans les pays anglo-saxons : Angleterre, Canada et États-Unis, j’ai testé des sketches en anglais là-bas, c’était top !
Vous aviez seulement 11 ans quand votre frère Jamel Debbouze a commencé à être connu, c’est lui qui vous a donné envie de faire de la scène ?
Oui c’est lui qui m’a poussé à monter sur les planches, depuis que je suis petit je le suis partout. C’est mon « papa ». Si je suis sur les planches aujourd’hui c’est grâce à lui, c’est lui qui m’en a donné envie !
Vous avez fait la première partie de Booder au théâtre du petit Gymnase à Paris, comment l’avez-vous rencontré ?
Oh Booder je le connais depuis que je suis petit ! En fait, si j’ai fait sa première partie c’est grâce à Dominique Coubes, le directeur artistique du théâtre : je suis allé le voir, je lui ai dit que j’avais un spectacle alors que je n’avais rien à part deux ou trois vannes qui duraient 5 minutes. Il m’a fait confiance et m’a dit que si mes 10 minutes étaient bonnes il me laisserait la salle tous les dimanches pendant deux mois. J’ai donc fait la première partie de Booder et ça a été super, j’ai même eu une standing ovation !
Comment est né votre spectacle actuel ?
Dominique Coubes a tenu sa promesse: j’ai eu la salle tous les dimanches pendant deux mois. Cette fois, c’était totale impro ! Il n’y avait que 15 minutes d’écrit et le reste n’était que de l’impro, c’est comme ça que le spectacle actuel est né … Grâce à Dominique Coubes en quelque sorte !
Votre spectacle s’appelle « Rashid », pourquoi ?
Parce-que je ne veux pas utiliser mon nom. Si je monte sur les planches c’est pour qu’on me reconnaisse par rapport à ce que je fais, pas en tant que « frère de Jamel Debbouze ».
Être comparé à votre frère est inévitable, cela vous dérange-t-il ?
Non ! C’est mon grand frère, il a marqué les esprits... Et de toutes manières, je reste le « frère de », puisque je suis le « frère de » ! Moi je veux lui faire plaisir, lui prouver de quoi je suis capable. Mais il y a une différence entre Jamel et moi : il fait du stand-up et moi un one-man show, j’interprète des personnages.
Envisagez-vous un jour de faire de la scène avec lui ?
Si ça se fait un jour bien sûr ! Mais aujourd’hui je dois faire mes preuves. C’est lui qui décide ! On pourrait essayer pourquoi pas de faire quelque chose mêlant stand-up et one-man show. Mais il faut vraiment pour l’instant que je fasse mes preuves.
Avez-vous d’autres projets en dehors de votre spectacle ?
Oui, avec toute ma petite équipe on veut vraiment faire beaucoup de choses. J’ai même des propositions extérieures pour des films. Mais pour l’instant je préfère me focaliser sur la scène, c’est ça que j’adore faire. Échanger quelque chose avec le public et m’amuser avec, c’est magnifique.
Le Jamel Comedy Club, ça vous aurait tenté ?
Non. Je trouve que c’est un tremplin énorme pour ceux qui veulent faire du théâtre, mais j’aurais eu l’impression de voler la place de quelqu’un.
Et pour finir, est-ce que votre frère vous a fait part de son expérience personnelle pour vous conseiller ?
Bien sûr, c’est son truc ça ! A chaque fois qu’on se voit il me donne des vrais conseils, des conseils de grand frère. Il est vraiment derrière moi, c’est un réel soutien. C'est pour ça que je veux lui faire plaisir avec ce spectacle, qu'il soit fier de moi.
• LA DESINTEGRATION
2012 - Film de Philippe Faucon
2012 - Film de Philippe Faucon