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L’histoire trépidante d’Edouard, fils aîné du roi des simiens, qui, considéré à sa naissance comme trop malingre, est rejeté par sa tribu. Il grandit loin d’eux, auprès de son ami Ian, et, incroyablement ingénieux, il découvre le feu, la chasse, l’habitat moderne, l’amour et même… l’espoir. Généreux, il veut tout partager, révolutionne l’ordre établi, et mène son peuple avec éclat et humour vers la véritable humanité… celle où on ne mange pas son père.
« Ce n’est pas moi qui ai fait le film, c’est le film qui m’a fait ». Jamel
Caractéristiques du film
Un projet qui tient à cœur à Jamel Debbouze depuis 2007, et qui sera tourné en 3D. Disponible également en 2D.
Adapté de l'œuvre de Roy Lewis « The Evolution Man ».
Un film de et avec Jamel Debbouze.
Tourné en motion capture, à l'instar de AVATAR de James Cameron et du TINTIN de Steven Spielberg, POURQUOI J'AI (PAS) MANGE MON PERE est le premier film tourné en Europe utilisant intégralement cette technique. Jamel est donc le 3ème réalisateur au monde à utiliser la mocap.
L'équipe du film a fait appel, pour la première fois en Europe, à la motion capture (MoCap), technique qui permet de filmer des acteurs équipés de capteurs et de reproduire ensuite leurs mouvements sur ordinateur. Une prouesse technique réalisée à Stains, aux studios Sets, sur un plateau de 1 000 m2 avec 70 caméras disposées à 360°.
Laurent Perez del Mar signe la musique originale de ce film d'animation, première réalisation de Jamel. On y entend également de la Soul (Nina Simone, Barry White, Aretha Franklin, Stevie Wonder) et de l'electro (Skrillex, Merlot et DJ Kore).
Scénario : Jamel DEBBOUZE et Frédéric FOUGEA, d'après un scénario original de Jean-Luc FROMENTAL et Frédéric FOUGEA
Collaboration à la création et à l'écriture du personnage de "Vladimir" : Olivier DE FUNES.
Réalisateur : Jamel DEBBOUZE
Interprètes : Jamel DEBBOUZE dans le rôle d'EDOUARD et avec Mélissa Theuriau, Louis de Funès, Arié Elmaleh...
VLADIMIR a été créé à partir du personnage de LOUIS DE FUNES.
Producteurs : Fred FOUGEA / Romain LE GRAND
Production Deleguée : PATHE
Coproduction : PATHE - BOREALES - KISSFILMS - M6FILMS –CATTLEYA – U FILMS
En Association Avec STELLAR
Producteur exécutif : Marc MIANCE / LET' SO YA !
Distributeur : PATHE Films
Tournage : Motion Capture Du 7 Mai Au 30 Juin 2012
Budget initial : 23 millions d'euros. Budget final : 40 millions d'euros
Pays de tournage du film : France / Angleterre / Inde / Belgique
Plateau de tournage de Mocap : Stains, France
Enregistrement de la musique : Studios d'Abbey Road, Londres, Angleterre
Tiré à 726 copies.
Sortie : 8 avril 2015
Le film a fait le 5ème meilleur démarrage de l'année 2015.
Partenaires du film : 7 UP, Brioches Pasquier, Acer, Carrefour...
Des T-shirts du film et de Get up et fais ton truc sont disponibles sur la Boutique du Cinéma. Commandez-les ici !
Petites Indiscrétions...
Jamel souhaite que Louis De Funès apparaisse dans "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" !
Bien que le célèbre comique français soit décédé depuis près de trente ans à ce jour, il est en effet possible de le ressusciter à l'écran, en utilisant la pellicule des films dans lesquels il a joué.
Jamel a précisé qu'il voudrait recycler des images de La Folie des grandeurs pour le montage de son film. Il aurait également envisagé de faire appel à un autre acteur pour imiter de Funès. Obstiné et perfectionniste, il a été adoubé par le propre fils du grand acteur, Olivier, qui a participé à l'écriture de l'adaptation.
Jamel, qui a bien l'intention de projeter Louis de Funès au temps de la Préhistoire, était en discussion ces derniers temps avec les fils de Louis de Funès au sujet des ayants droit de leur père. Jamel dit qu'ils sont super, trouvent que c’est une bonne idée, et qu'ils les encouragent.
A noter que Jamel réalise ce film, mais il ne passera pas derrière la caméra.
Dernière surprise et non la moindre, Mélissa Theuriau, épouse à la ville de Jamel, fait ses grands débuts au cinéma. Journaliste remarquée sur LCI à ses débuts, puis réalisatrice de documentaires engagés pour la télévision, Madame Debbouze se lance maintenant dans la comédie. Dans ce film, elle s'appellera Lucy, la première femme connue de l'humanité. Tout un symbole.
Dates marquantes du film
19 Août 2011 : Jamel annonce que Mélissa Theuriau devrait normalement prêter sa voix à Lucy, l'épouse d'Edouard, voix interprétée par Jamel dans le film.
22 Août 2011 : M6 produira une partie de ce film.
7 Mai 2012 : Début du tournage en motion capture et 3D.
5 Juin 2012 : Premier communiqué de presse officiel par Pathé.
2 Juillet 2014 : Mise en ligne de la 1ère affiche et du teaser "Le cinéma de Jamel" du film.
2 Octobre 2014 : Jamel a présenté 7 mn hilarantes du film, qui ont d'ailleurs été très applaudies, au Congrès des exploitants de Deauville.
16 Octobre 2014 : Mise en ligne de la 2ème affiche teaser.
26 Novembre 2014 : Mise en ligne du Pré-teaser "Parodie du Roi Lion".
15 Décembre 2014 : Mise en ligne de la 3ème affiche.
27 Décembre 2014 : Mise en ligne du 2ème teaser du film, le teaser "Cri".
31 Janvier 2015 : Mise en ligne du teaser "Famille".
4 Février 2015 : Mise en ligne du 4ème teaser, "Les techniques de chasse".
Box Office
- 1ère Journée : 151 071 entrées France / 20 457 entrées Paris.
- 1ère Semaine : 656 119 entrées France / Classé 2ème au BO.
- 2ème Semaine : 504 001 entrées France / Cumul : 1 160 120 entrées / Classé 2ème au BO.
- 3ème Semaine : 424 045 entrées France / Cumul : 1 584 165 entrées / Classé 2ème au BO.
- 4ème Semaine : 388 168 entrées France / Cumul : 1 972 333 entrées / Classé 3ème au BO.
- 10 Mai 2015 : 2 000 000 d'entrées pour "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" !
- 5ème Semaine : 158 020 entrées France / Cumul : 2 130 353 entrées / Classé 4ème au BO.
Une Prouesse technique !
L’Ircam refait parler Louis de Funès dans "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ! Dans le film de Jamel, en salles le 8 avril, un personnage s'exprime comme le célèbre acteur décédé en 1983. Cette prouesse technique appelée "conversion d’identité" permet de plaquer une voix reconstituée sur une voix réelle.
Regardez bien la bande-annonce finale de "Pourquoi j’ai pas mangé mon père" dans l'onglet "Vidéos". Surtout, écoutez bien. À la 24e seconde puis à la 39e, la voix d’un personnage hirsute devrait vous rappeler quelqu’un. Oui, c’est celle de Louis de Funès, pourtant disparu en 1983. C’était un vieux fantasme de Jamel, réalisateur de ce long métrage d’animation adapté du roman de Roy Lewis "Pourquoi j'ai mangé mon père" (paru en 1960), que de faire un jour parler l’acteur dans l’un de ses films. Une fantaisie d’artiste qui s’est traduite par une véritable prouesse technologique.
Transférer une voix connue sur celle d'un comédien. C’est l’Ircam (Institut de recherche et coordination acoustique musique), à Paris, qui s’est attelé à cette tâche à l’aide d’une technologie dite de "conversion d’identité de la voix". L'institut y travaille depuis une dizaine d’années et est en train d’en déposer le brevet. L’idée ? Reconstituer une voix mais surtout la "transférer" sur celle d’un comédien en la plaquant littéralement sur la manière de parler de ce dernier, un peu comme un moulage.
"Il existe deux éléments dans la voix qui permettent de dire à qui elle appartient, explique Axel Roebel, responsable de l’équipe analyse et synthèse des sons à l’Ircam. L’intonation, avec éventuellement la vitesse, et la couleur des phonèmes, liée à la position des résonateurs dans la bouche." Un imitateur peut retrouver l’intonation mais pas les résonances, qui impliqueraient de déformer son conduit vocal ! De plus, la crédibilité d’un imitateur dépend beaucoup du contexte comique du sketch, de la parodie. "Si on fait intervenir un imitateur dans un contexte plus réaliste, ça marche moins, on entend qu’il s’agit d’une imitation", assure Nicolas Obin, spécialiste du traitement de la voix qui a travaillé sur le projet.
Pour obtenir le meilleur "effet Louis de Funès" possible, celui qui s'exprime doit se rapprocher de la manière de parler de l’acteur. Pour constituer la base de données, cinq à dix minutes d’enregistrement de la voix originelle ont suffit. Mais les films de Louis de Funès se sont avérés inexploitables : les bandes de fréquences utilisées dans les années 1970 ne correspondent plus, en effet, à celles du cinéma d’aujourd’hui. Et il n’a pas été possible de retrouver la voix de l’acteur non-mixée.
Axel Roebel : "La préparation de la base a été assez longue, nous avons utilisé des interviews de Louis de Funès, mais il n’y parle pas comme dans ses films même si la qualité sonore est meilleure. On a donc mélangé ces éléments à des extraits de films et à une séquence radiophonique où il lit un livre."
Le doublage du personnage en animation s’est fait ensuite en trois étapes. D’abord, un comédien dit le texte synchronisé avec le film. Ce "signal parole" est envoyé à l’Ircam où la voix est traitée et convertie mais sans modification des durées. Enfin, on procède à un échange de voix, celle de Louis de Funès venant se placer exactement là où se trouvait celle du comédien, synchronisée de la même manière. Au final, le film ne compte que trois minutes et demie cumulées de la voix de de Funès. Ce qui n’en a pas moins nécessité le travail de trois linguistes et quatre ingénieurs pendant deux mois.
Un projet qui tient à cœur à Jamel Debbouze depuis 2007, et qui sera tourné en 3D. Disponible également en 2D.
Adapté de l'œuvre de Roy Lewis « The Evolution Man ».
Un film de et avec Jamel Debbouze.
Tourné en motion capture, à l'instar de AVATAR de James Cameron et du TINTIN de Steven Spielberg, POURQUOI J'AI (PAS) MANGE MON PERE est le premier film tourné en Europe utilisant intégralement cette technique. Jamel est donc le 3ème réalisateur au monde à utiliser la mocap.
L'équipe du film a fait appel, pour la première fois en Europe, à la motion capture (MoCap), technique qui permet de filmer des acteurs équipés de capteurs et de reproduire ensuite leurs mouvements sur ordinateur. Une prouesse technique réalisée à Stains, aux studios Sets, sur un plateau de 1 000 m2 avec 70 caméras disposées à 360°.
Laurent Perez del Mar signe la musique originale de ce film d'animation, première réalisation de Jamel. On y entend également de la Soul (Nina Simone, Barry White, Aretha Franklin, Stevie Wonder) et de l'electro (Skrillex, Merlot et DJ Kore).
Scénario : Jamel DEBBOUZE et Frédéric FOUGEA, d'après un scénario original de Jean-Luc FROMENTAL et Frédéric FOUGEA
Collaboration à la création et à l'écriture du personnage de "Vladimir" : Olivier DE FUNES.
Réalisateur : Jamel DEBBOUZE
Interprètes : Jamel DEBBOUZE dans le rôle d'EDOUARD et avec Mélissa Theuriau, Louis de Funès, Arié Elmaleh...
VLADIMIR a été créé à partir du personnage de LOUIS DE FUNES.
Producteurs : Fred FOUGEA / Romain LE GRAND
Production Deleguée : PATHE
Coproduction : PATHE - BOREALES - KISSFILMS - M6FILMS –CATTLEYA – U FILMS
En Association Avec STELLAR
Producteur exécutif : Marc MIANCE / LET' SO YA !
Distributeur : PATHE Films
Tournage : Motion Capture Du 7 Mai Au 30 Juin 2012
Budget initial : 23 millions d'euros. Budget final : 40 millions d'euros
Pays de tournage du film : France / Angleterre / Inde / Belgique
Plateau de tournage de Mocap : Stains, France
Enregistrement de la musique : Studios d'Abbey Road, Londres, Angleterre
Tiré à 726 copies.
Sortie : 8 avril 2015
Le film a fait le 5ème meilleur démarrage de l'année 2015.
Partenaires du film : 7 UP, Brioches Pasquier, Acer, Carrefour...
Des T-shirts du film et de Get up et fais ton truc sont disponibles sur la Boutique du Cinéma. Commandez-les ici !
[Photo de projet]
Petites Indiscrétions...
Jamel souhaite que Louis De Funès apparaisse dans "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" !
Bien que le célèbre comique français soit décédé depuis près de trente ans à ce jour, il est en effet possible de le ressusciter à l'écran, en utilisant la pellicule des films dans lesquels il a joué.
Jamel a précisé qu'il voudrait recycler des images de La Folie des grandeurs pour le montage de son film. Il aurait également envisagé de faire appel à un autre acteur pour imiter de Funès. Obstiné et perfectionniste, il a été adoubé par le propre fils du grand acteur, Olivier, qui a participé à l'écriture de l'adaptation.
Jamel, qui a bien l'intention de projeter Louis de Funès au temps de la Préhistoire, était en discussion ces derniers temps avec les fils de Louis de Funès au sujet des ayants droit de leur père. Jamel dit qu'ils sont super, trouvent que c’est une bonne idée, et qu'ils les encouragent.
A noter que Jamel réalise ce film, mais il ne passera pas derrière la caméra.
Dernière surprise et non la moindre, Mélissa Theuriau, épouse à la ville de Jamel, fait ses grands débuts au cinéma. Journaliste remarquée sur LCI à ses débuts, puis réalisatrice de documentaires engagés pour la télévision, Madame Debbouze se lance maintenant dans la comédie. Dans ce film, elle s'appellera Lucy, la première femme connue de l'humanité. Tout un symbole.
Dates marquantes du film
19 Août 2011 : Jamel annonce que Mélissa Theuriau devrait normalement prêter sa voix à Lucy, l'épouse d'Edouard, voix interprétée par Jamel dans le film.
22 Août 2011 : M6 produira une partie de ce film.
7 Mai 2012 : Début du tournage en motion capture et 3D.
5 Juin 2012 : Premier communiqué de presse officiel par Pathé.
2 Juillet 2014 : Mise en ligne de la 1ère affiche et du teaser "Le cinéma de Jamel" du film.
2 Octobre 2014 : Jamel a présenté 7 mn hilarantes du film, qui ont d'ailleurs été très applaudies, au Congrès des exploitants de Deauville.
16 Octobre 2014 : Mise en ligne de la 2ème affiche teaser.
26 Novembre 2014 : Mise en ligne du Pré-teaser "Parodie du Roi Lion".
15 Décembre 2014 : Mise en ligne de la 3ème affiche.
27 Décembre 2014 : Mise en ligne du 2ème teaser du film, le teaser "Cri".
31 Janvier 2015 : Mise en ligne du teaser "Famille".
4 Février 2015 : Mise en ligne du 4ème teaser, "Les techniques de chasse".
Box Office
- 1ère Journée : 151 071 entrées France / 20 457 entrées Paris.
- 1ère Semaine : 656 119 entrées France / Classé 2ème au BO.
- 2ème Semaine : 504 001 entrées France / Cumul : 1 160 120 entrées / Classé 2ème au BO.
- 3ème Semaine : 424 045 entrées France / Cumul : 1 584 165 entrées / Classé 2ème au BO.
- 4ème Semaine : 388 168 entrées France / Cumul : 1 972 333 entrées / Classé 3ème au BO.
- 10 Mai 2015 : 2 000 000 d'entrées pour "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" !
- 5ème Semaine : 158 020 entrées France / Cumul : 2 130 353 entrées / Classé 4ème au BO.
Une Prouesse technique !
L’Ircam refait parler Louis de Funès dans "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ! Dans le film de Jamel, en salles le 8 avril, un personnage s'exprime comme le célèbre acteur décédé en 1983. Cette prouesse technique appelée "conversion d’identité" permet de plaquer une voix reconstituée sur une voix réelle.
Regardez bien la bande-annonce finale de "Pourquoi j’ai pas mangé mon père" dans l'onglet "Vidéos". Surtout, écoutez bien. À la 24e seconde puis à la 39e, la voix d’un personnage hirsute devrait vous rappeler quelqu’un. Oui, c’est celle de Louis de Funès, pourtant disparu en 1983. C’était un vieux fantasme de Jamel, réalisateur de ce long métrage d’animation adapté du roman de Roy Lewis "Pourquoi j'ai mangé mon père" (paru en 1960), que de faire un jour parler l’acteur dans l’un de ses films. Une fantaisie d’artiste qui s’est traduite par une véritable prouesse technologique.
Transférer une voix connue sur celle d'un comédien. C’est l’Ircam (Institut de recherche et coordination acoustique musique), à Paris, qui s’est attelé à cette tâche à l’aide d’une technologie dite de "conversion d’identité de la voix". L'institut y travaille depuis une dizaine d’années et est en train d’en déposer le brevet. L’idée ? Reconstituer une voix mais surtout la "transférer" sur celle d’un comédien en la plaquant littéralement sur la manière de parler de ce dernier, un peu comme un moulage.
"Il existe deux éléments dans la voix qui permettent de dire à qui elle appartient, explique Axel Roebel, responsable de l’équipe analyse et synthèse des sons à l’Ircam. L’intonation, avec éventuellement la vitesse, et la couleur des phonèmes, liée à la position des résonateurs dans la bouche." Un imitateur peut retrouver l’intonation mais pas les résonances, qui impliqueraient de déformer son conduit vocal ! De plus, la crédibilité d’un imitateur dépend beaucoup du contexte comique du sketch, de la parodie. "Si on fait intervenir un imitateur dans un contexte plus réaliste, ça marche moins, on entend qu’il s’agit d’une imitation", assure Nicolas Obin, spécialiste du traitement de la voix qui a travaillé sur le projet.
Pour obtenir le meilleur "effet Louis de Funès" possible, celui qui s'exprime doit se rapprocher de la manière de parler de l’acteur. Pour constituer la base de données, cinq à dix minutes d’enregistrement de la voix originelle ont suffit. Mais les films de Louis de Funès se sont avérés inexploitables : les bandes de fréquences utilisées dans les années 1970 ne correspondent plus, en effet, à celles du cinéma d’aujourd’hui. Et il n’a pas été possible de retrouver la voix de l’acteur non-mixée.
Axel Roebel : "La préparation de la base a été assez longue, nous avons utilisé des interviews de Louis de Funès, mais il n’y parle pas comme dans ses films même si la qualité sonore est meilleure. On a donc mélangé ces éléments à des extraits de films et à une séquence radiophonique où il lit un livre."
Le doublage du personnage en animation s’est fait ensuite en trois étapes. D’abord, un comédien dit le texte synchronisé avec le film. Ce "signal parole" est envoyé à l’Ircam où la voix est traitée et convertie mais sans modification des durées. Enfin, on procède à un échange de voix, celle de Louis de Funès venant se placer exactement là où se trouvait celle du comédien, synchronisée de la même manière. Au final, le film ne compte que trois minutes et demie cumulées de la voix de de Funès. Ce qui n’en a pas moins nécessité le travail de trois linguistes et quatre ingénieurs pendant deux mois.
Promo TV & Radio "Pourquoi j'ai pas mangé mon père"
Mercredi 4 Mars 2015 :
- 6h00 : Europe 1 Matin sur Europe 1 (Passage vers 7h30)
Samedi 7 Mars 2015 :
- 17h55 : 50 min Inside sur TF1
Jeudi 18 Mars 2015 :
- 19h00 : JT Le 19/20 sur France 3
Vendredi 19 Mars 2015 :
- 17h30 : Radio Contact (Radio Belgique)
- 18h00 : Radio Bel RTL Soir, les Titres (Radio Belgique)
- 18h30 : Radio Bel RTL (Radio Belgique)
- 19h00 : JT RTL-TVI (19h > Titres / 19h20 > Interview de Jamel) (TV Belgique)
Samedi 28 Mars 2015
- 11h00 à 12h30 : Sortez du Cadre sur Europe 1
- 20h00 : JT 20H sur TF1 (Interview 3D en fin de journal)
Dimanche 29 Mars 2015
- 14h10 : Vivement Dimanche "Spéciale Jamel" sur France 2
- 18h40 : Vivement Dimanche Prochain sur France 2
Lundi 30 Mars 2015
- 16h00 / 18h30 : Les pieds dans le plat sur Europe 1 (Jamel en studio vers 17h45)
- 19h30 : JT Le 19H30 sur RTS (TV Suisse)
Mercredi 1 Avril 2015
- 16h00 : Gu'Live sur Gulli
- 19h45 : JT Le 19.45 sur M6 (Interview Jamel + Mélissa en fin de journal)
Jeudi 2 Avril 2015
- 18h15 : Le Before sur Canal+
- 18h45 : Touche pas à mon poste sur D8 (En plateau vers 19h30)
Vendredi 3 Avril 2015
- 9h00 : Laissez-vous tenter sur RTL
- 20h15 : Entrée Libre sur France 5
Samedi 4 Avril 2015
- 6h30 : Télématin sur France 2 (Spot interview vers 7h00)
- 17h55 : 50 min Inside sur TF1
- 20h00 : JT 20h Week-end sur France 2
Dimanche 5 Avril 2015
- 7h00 : Absolument Stars sur M6 (Spot interview vers 9h30)
Lundi 6 Avril 2015
- 15h30 : Il n'y en a pas deux comme elle sur Europe 1 (Seulement Mélissa)
- 19h00 : Le Grand Journal sur Canal+
Mardi 7 Avril 2015
- 9h15 : Boomerang sur France Inter
- 19h00 : Luis Attaque sur RMC
- 19h00 / 22h00 : C'Cauet sur NRJ
Mercredi 8 Avril 2015
- 12h00 : Europe 1 Midi sur Europe 1 (Passage de Jamel vers 13h30)
Vendredi 10 Avril 2015
- 5h00 : Le 5-9 de NRJ Antilles
Dimanche 12 Avril 2015
- 20h10 : E=M6 sur M6
Jeudi 16 Avril 2015
- 12h30 : Les Secrets du Cinéma sur Séance Radio
Promo Presse "Pourquoi j'ai pas mangé mon père"
- 5 Mars 2015 : Article dans le magazine des cinémas Gaumont Pathé de Mars 2015
- 18 Mars 2015 : Interview dans le magazine GQ France d'Avril 2015
- 20 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le Parisien / Aujourd'hui en France Magazine
- 22 Mars 2015 : Interview de Jamel dans Les dernières nouvelles d'Alsace
- 23 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine des cinémas Gaumont Pathéd'Avril 2015
- 25 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Phosphore d'Avril 2015
- 25 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Version Femina du 30 mars au 5 avril 2015
- 1 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Première d'Avril 2015
- 1 Avril 2015 : Interview de Mélissa dans le magazine Elle
- 1 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le TGV Magazine d'Avril 2015
- 2 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le magazine Belge Ciné Télé Revue
- 3 Avril 2015 : Article dans Télé 2 semaines
- 3 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Snatch d'Avril 2015
- 4 Avril 2015 : Jamel rédacteur en chef + couverture des journaux jeunesse L'actu et Mon quotidien
- 4 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Ouest-France
- 4 Avril 2015 : Article sur Jamel dans le Télé Magazine
- 6 Avril 2015 : Interview de Mélissa dans le Psychologie Magazine
- 6 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le Télé 7 Jours
- 8 Avril 2015 : Rédac chef + Interview de Jamel dans le Journal de Mickey
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le journal Midi Libre
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Métro
- 8 Avril 2015 : Article sur le film dans le journal 20 Minutes
- 8 Avril 2015 : Article sur le film dans le journal Direct Matin
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Le Parisien / Aujourd'hui en France
- 8 Avril 2015 : Interview dans le magazine Gala
- 10 Avril 2015 : Le musée imaginaire de Jamel dans le magazine Studio Ciné Live
- 10 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le TV Magazine
- 13 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le Migros Magazine
Mercredi 4 Mars 2015 :
- 6h00 : Europe 1 Matin sur Europe 1 (Passage vers 7h30)
Samedi 7 Mars 2015 :
- 17h55 : 50 min Inside sur TF1
Jeudi 18 Mars 2015 :
- 19h00 : JT Le 19/20 sur France 3
Vendredi 19 Mars 2015 :
- 17h30 : Radio Contact (Radio Belgique)
- 18h00 : Radio Bel RTL Soir, les Titres (Radio Belgique)
- 18h30 : Radio Bel RTL (Radio Belgique)
- 19h00 : JT RTL-TVI (19h > Titres / 19h20 > Interview de Jamel) (TV Belgique)
Samedi 28 Mars 2015
- 11h00 à 12h30 : Sortez du Cadre sur Europe 1
- 20h00 : JT 20H sur TF1 (Interview 3D en fin de journal)
Dimanche 29 Mars 2015
- 14h10 : Vivement Dimanche "Spéciale Jamel" sur France 2
- 18h40 : Vivement Dimanche Prochain sur France 2
Lundi 30 Mars 2015
- 16h00 / 18h30 : Les pieds dans le plat sur Europe 1 (Jamel en studio vers 17h45)
- 19h30 : JT Le 19H30 sur RTS (TV Suisse)
Mercredi 1 Avril 2015
- 16h00 : Gu'Live sur Gulli
- 19h45 : JT Le 19.45 sur M6 (Interview Jamel + Mélissa en fin de journal)
Jeudi 2 Avril 2015
- 18h15 : Le Before sur Canal+
- 18h45 : Touche pas à mon poste sur D8 (En plateau vers 19h30)
Vendredi 3 Avril 2015
- 9h00 : Laissez-vous tenter sur RTL
- 20h15 : Entrée Libre sur France 5
Samedi 4 Avril 2015
- 6h30 : Télématin sur France 2 (Spot interview vers 7h00)
- 17h55 : 50 min Inside sur TF1
- 20h00 : JT 20h Week-end sur France 2
Dimanche 5 Avril 2015
- 7h00 : Absolument Stars sur M6 (Spot interview vers 9h30)
Lundi 6 Avril 2015
- 15h30 : Il n'y en a pas deux comme elle sur Europe 1 (Seulement Mélissa)
- 19h00 : Le Grand Journal sur Canal+
Mardi 7 Avril 2015
- 9h15 : Boomerang sur France Inter
- 19h00 : Luis Attaque sur RMC
- 19h00 / 22h00 : C'Cauet sur NRJ
Mercredi 8 Avril 2015
- 12h00 : Europe 1 Midi sur Europe 1 (Passage de Jamel vers 13h30)
Vendredi 10 Avril 2015
- 5h00 : Le 5-9 de NRJ Antilles
Dimanche 12 Avril 2015
- 20h10 : E=M6 sur M6
Jeudi 16 Avril 2015
- 12h30 : Les Secrets du Cinéma sur Séance Radio
Promo Presse "Pourquoi j'ai pas mangé mon père"
- 5 Mars 2015 : Article dans le magazine des cinémas Gaumont Pathé de Mars 2015
- 18 Mars 2015 : Interview dans le magazine GQ France d'Avril 2015
- 20 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le Parisien / Aujourd'hui en France Magazine
- 22 Mars 2015 : Interview de Jamel dans Les dernières nouvelles d'Alsace
- 23 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine des cinémas Gaumont Pathéd'Avril 2015
- 25 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Phosphore d'Avril 2015
- 25 Mars 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Version Femina du 30 mars au 5 avril 2015
- 1 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Première d'Avril 2015
- 1 Avril 2015 : Interview de Mélissa dans le magazine Elle
- 1 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le TGV Magazine d'Avril 2015
- 2 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le magazine Belge Ciné Télé Revue
- 3 Avril 2015 : Article dans Télé 2 semaines
- 3 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le magazine Snatch d'Avril 2015
- 4 Avril 2015 : Jamel rédacteur en chef + couverture des journaux jeunesse L'actu et Mon quotidien
- 4 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Ouest-France
- 4 Avril 2015 : Article sur Jamel dans le Télé Magazine
- 6 Avril 2015 : Interview de Mélissa dans le Psychologie Magazine
- 6 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le Télé 7 Jours
- 8 Avril 2015 : Rédac chef + Interview de Jamel dans le Journal de Mickey
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le journal Midi Libre
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Métro
- 8 Avril 2015 : Article sur le film dans le journal 20 Minutes
- 8 Avril 2015 : Article sur le film dans le journal Direct Matin
- 8 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le journal Le Parisien / Aujourd'hui en France
- 8 Avril 2015 : Interview dans le magazine Gala
- 10 Avril 2015 : Le musée imaginaire de Jamel dans le magazine Studio Ciné Live
- 10 Avril 2015 : Interview de Jamel et Mélissa dans le TV Magazine
- 13 Avril 2015 : Interview de Jamel dans le Migros Magazine
Pourquoi j’ai pas mangé mon père : Jamel Debbouze a-t-il réussi son pari ? Critique... A voir à Lire, Le 5 Avril 2015
Inconsciemment Jamel livre un divertissement qui ébranle certains fondamentaux religieux et rend ainsi la légèreté de son approche plus digérable.
Il est difficile de dire que J’ai pas mangé mon père appartienne aux projets auxquels on tient vraiment. La faute a une promo qui a commencé longtemps en amont qui a choqué les sensibilités esthétiques : des premiers visuels ont longtemps préfiguré ce projet colossal, tourné sur plusieurs années, avec un budget colossal de plus de 40M d’euros et une post-production des plus contraignantes, mais dès qu’un teaser tombait l’impression d’un raté de l’animation submergeait l’objectivité raisonnée. Pourquoi recourir au procédé le plus discutable du 7e art, la motion-capture, qui a ses amateurs, certes, mais qui, à part dans Avatar, a rarement su fédérer au-delà des puristes ? Et puis, l’on n’avait pas oublié l’insipidité de Sur la piste du Marsupilami, autre projet de poids qui n’avait pas à la hauteur de ses ambitions populaires, et qui avait divisé notre rédaction.
Il faut près d’un bon quart d’heure avant d’appréhender le positif de J’ai pas mangé mon mère. L’introduction relève en effet de la torture, avec la découverte des différents faciès, tous plus hideux les uns que les autres, et la texture terne des épidermes loin de la magnificence du rendu des productions américaines. Il faut donc d’abord se battre, lutter, pour voir du bon dans cette introduction où l’on ressuscite maladroitement Louis de Funès dans la peau mesquine d’un personnage obséquieux assez détestable, fait de tics et de perfidie, où le décor bucolique environnant emprunte l’ivresse de la fluidité de Tarzan et le goût de la grandiloquence majestueuse du Roi Lion, pour ses scènes de promontoire, deux productions Disney qui servent dans un premier temps de référence de décor un peu trop encombrante.
Le temps de l’adaptation passé (le métrage fait près d’1h40), on est beaucoup moins sévère. Jamel a vu grand et l’animation offre des moments d’une très grande puissance... Quelques courses poursuites épiques, un gigantisme numérique comme on a rarement l’occasion d’en voir en France, des cycles burlesques parfaitement maîtrisés, écrits, dirigés et mis en scène, aux antipodes du traitement informatif du Marsupilami. Debbouze, réalisateur et acteur, s’évertue à montrer l’argent à l’écran, effaçant les doutes d’un caprice de star qui ne serait jamais justifié (quoiqu’il faudra le vendre celui-ci à l’étranger, et ce n’est pas gagné !).
Toutefois, où est Jamel le rebel, impliqué dans des projets humains, politiques et sociaux ? Celui de La Marche, Indigènes et Hors la loi ? L’a-t-on perdu ? Pas forcément. Inconsciemment, ce qui frappe le plus au-delà de la démesure des ambitions, c’est un discours de l’évolution qui apaise. A l’heure des obsessions médiatiques des cultes, des rassemblements des communautés autour de la foi, Debbouze offre un discours fédérateur de défiance à l’égard de la magie, des pseudo miracles, du détournement du pouvoir ou de sa manipulation des croyances pour parvenir à des desseins pas très catholiques.
En incarnant un fils simiesque de roi singe déchu à sa naissance pour sa carrure chétive indigne du trône, mais qui va fédérer autour de lui, à son retour, tout un peuple, par son intelligence, il devient une figure politique forte, sortant l’animal de l’obscurantisme, le conduisant à maîtriser son corps de bipède et à utiliser le feu. Il l’extirpe de son arbre caverneux pour rationaliser ses peurs de l’inconnu et affronter positivement la vie qui l’attend devant lui, sous un ciel bleu où tout reste à construire, notamment la culture (bon certes, un hit pour alimenter quelques ventes sur les plateformes de téléchargement et aider à la promotion du film). Mais on aime découvrir la possibilité de pistes de lecture au-delà du divertissement pour mômes, car c’est surtout de cela qu’il s’agit, Pourquoi j’ai pas mangé mon père, dans ses formes plaira surtout aux enfants.
Au final, peu importe ce qu’il adviendra de la carrière commerciale de cette version française des Croods, un enjeu en forme d’épée de Damoclès pour Pathé et Debbouze, qui doivent assumer l’énormité de pareil enjeu, l’essentiel à notre niveau est d’avoir su prendre un certain plaisir face à ce spectacle gonflé et généreux. Cette expérience française de Motion-Capture n’est ni le désastre redouté, ni le spectacle populaire fade qu’il pouvait laisser transparaître au premier abord, il suinte l’effort, la volonté de transcender les préjugés et ne trahit jamais la pertinence politique de Jamel qui demeure l’une des personnalités françaises les plus intéressantes de sa génération.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze : critique. Ciné Chronique, Le 6 avril 2015
Grande première pour Jamel Debbouze qui s’empare ici du poste de réalisateur pour son premier long métrage. Initialement intégré en tant que doubleur d’Edouard, personnage simiesque central, Jamel a repris les rênes du projet abandonné à l’état de scénario. Pourquoi j’ai pas mangé mon père est l’adaptation du roman à succès homonyme de Roy Lewis. De ce projet de base, Jamel avoue n’avoir conservé que le tandem des frères Edouard et Vania, à ceci près qu’ils deviennent jumeaux dans le film. Tout en conservant le ton du livre, il en adapte les dialogues, préférant un langage plus moderne, terrain de jeu de prédilection du comique. Les fans de ses néologismes abracadabrants et de sa gestuelle exacerbée ne seront pas déçus. Jamel réalisateur, mais aussi scénariste et directeur d’acteurs, impose dès lors fortement sa patte personnelle. Pourquoi j’ai pas mangé mon père espère ainsi faire rire les amateurs des vannes du comique depuis Astérix Mission Cléopâtre ou la série H de Canal +, comme leurs enfants venus voir ce dessin animé avec leurs parents. Jamel emploie aussi le comique de situation, déclinant des scènes de vie quotidienne dans leur version préhistorique. On découvre ainsi un sport entre football et Quidditch, comment draguer façon « paléoli-street », ou encore la rencontre du portugais préhistorique et son indéfectible passion pour la maçonnerie. Il rend également un hommage à Louis de Funès pour les séances de rire en famille qu’il lui ont été prodiguées durant sa jeunesse. Ainsi est né le personnage de Vladimir, fruit d’un travail en partenariat avec Olivier de Funès, son fils. Si on retrouve l’essence du génie, l’interprétation diffère forcément. On apprécie ici sa simple imitation basée sur les mimiques célèbres de l’immense comédien et sur ses phonèmes prononcés, compilés puis triangulés par un logiciel pour reconstituer sa voix légendaire.
La motion capture, popularisée par Peter Jackson et James Cameron, ont rendu possible la retranscription de toutes les pitreries de Jamel, comme s’il apparaissait en personne à l’écran. Cela n’a toutefois pas été une mince affaire. Faire le singe impose d’être à quatre pattes de longues heures durant, de grimper partout, d’être agile et libre de ses mouvements, ce qui constitue déjà un défi en soi pour les acteurs. Un défi relevé de prime abord grâce à une technologie américaine très contraignante, notamment concernant le poids du casque pesant à lui seul 7 kilos. Il a donc fallu un an à l’équipe pour trouver des solutions et arriver au résultat impressionnant d’un casque passant de 7 kilos à 400 grammes. Pourquoi j’ai pas mangé mon père a aussi été tourné dans le plus grand studio de motion capture d’Europe situé en Seine Saint Denis, où le plateau de 1000m2 bardé de 70 caméras disposées sur 360° pouvait accueillir jusqu’à 15 acteurs à la fois. Une prouesse face aux anglo-saxons dépassant rarement les 4-5 acteurs.
L’étape de post-production s’est déroulée ensuite dans les studios indiens, en charge entre autres de L’Odyssée de Pi. Au terme de cette gestation, le rendu visuel est agréable à l’œil, les décors sont denses et riches en mouvements, les animaux qui le peuplent sont graphiquement réussis, formant des chimères enfantines issues d’un croisement entre la faune actuelle et leurs ancêtres paléolithiques. On s’amuse avec ces drôles de bestioles aux doux noms de lapinosaure ou encore de tortrûche, dans un univers visuel à la croisée entre L’Âge de Glace et le Tarzan des studios Disney. Bien qu’innovant, le système technique reste à perfectionner sur le plan des expressions faciales. D’une part, les caméras-visage, dont les optiques sont de moindre qualité dans l’équipement français, n’exploitent pas pleinement le potentiel de la motion capture. L’ensemble, forcément loin des standards actuels comme les primates de La Planète des Singes (nos critiques LES ORIGINES, L’AFFRONTEMENT) ou Smaug du Hobbit, ne nuit cependant pas à la qualité de l’œuvre, si tant est que l’apparence anthropomorphique des singes ne rebute pas.
Bien qu’il s’adresse à un public jeune, Pourquoi j’ai pas mangé mon père aborde habilement et avec humour des thèmes et des problèmes d’adultes. Jamel y développe ses sujets de prédilection comme l’exclusion, le rejet des individus hors-normes et la peur du chômage, moteur de plusieurs personnages. Le récit arbore aussi un discours écologique, renvoyant à Avatar et son colossal arbre-maison riche en symboles, et la lutte entre nature respectée et soif de profits. Les problèmes sociaux sont exposés aux enfants de manière simple, enrobés par les vannes d’Edouard à l’élocution si particulière. Le dessin animé invite ainsi à revisiter les premières grandes découvertes et inventions de l’Homme au fil des déboires de cet héritier insoupçonné du trône de Roi des Singes. Il se bat constamment contre les conventions établies au moyen de ses innovations, comme son « nouveau concept de moyen de locomotion reposant sur la bipédie debout » ou encore l’ « attrape-touche », qui sert donc à attraper tout ce que ça touche.
Quant à la bande son entre musiques du monde et sonorités de la jungle, elle s’harmonise avec la chanson Get up et fais ton truc, qui amusera les enfants. Elle sait rester discrète et sert le film dans ses oscillations émotionnelles, avec des titres de Nina Simone, Barry White, Stevie Wonder ou encore Aretha Franklin. Un registre résolument soul et tendre qui place l’amour comme thème central. Ainsi, entre projet très personnel et gestation de 7 ans, ce film se révèle quasi métaphorique du parcours de Jamel, avec un personnage clamant que l’on ne doit pas oublier d’où l’on vient, ni les promesses faites. Pourquoi j’ai pas mangé mon père tient ainsi sa promesse tout en faisant passer un bon moment en famille où à ceux ayant ri devant Astérix : Mission Cléopâtre et même La Folie des Grandeurs.
On aime... Pourquoi j'ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze. The Smart Girls Blog, Le 7 avril 2015
Mercredi dernier, Acer, partenaire du film offrait la possibilité à plusieurs blogueurs d’assister à l’avant-première du film « Pourquoi J’ai pas mangé mon Père » dans les locaux de Pathé. Au programme, cocktail dinatoire et projection du film.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze est l’adaptation du roman « Pourquoi J’ai Mangé Mon Père » de Roy Lewis. Lors du Showeb de Printemps, Jamel s’était rendu sur scène pour nous parler de son film. Entièrement réalisé en Motion Capture, ce projet aura demandé pas moins de 7 ans. Il s’agit du premier film tourné en Europe utilisant intégralement cette performance-capture.
Concernant l’histoire du film, il sera question de l’évolution de l’Homme avec entre autre la découverte inopinée de la bipédie, du feu mais pas que… Nous allons suivre les aventures d’Edouard (doublé par Jamel Debbouze) un jeune simien et fils aîné du roi qui lors de sa naissance fût abandonné car son père le trouvait trop gringalet. Il sera ensuite recueilli par Ian (doublé par Arié Elmaleh) un singe gentillet, naïf, et attachant. Edouard s’interroge continuellement sur son monde, il essaie de le comprendre et découvre de nouveaux matériaux. Quelques années plus tard, Edouard revient auprès des simiens mais tout ne se passe pas comme prévu.
Plus tard il fera la connaissance de Lucy (doublée par Mélissa Theuriau) dont il tombera amoureux. Il va à ses côtés découvrir autre chose que l’arbre dans lequel il à toujours vécu, à commencer par les espèces animales, des sortes d’autruches avec des carapaces de tortue, des girafes avec des cornes de rhinocéros ou encore des lapins léopard.
Bref, vous l’auriez bien compris on va suivre l’évolution de l’Homme, le singe qui descend de l’arbre et découvre son environnement. Cette évolution se fait rapidement avec l’humour que l’on connait tant de Jamel.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père est destiné à un public assez jeune, qui pourront ainsi découvrir l’évolution de l’homme de manière amusante. Cela dit les grands aimeront également, certains passages du film sont très drôles.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père nous fait revivre un grand acteur du cinéma français, Louis de Funes sous les traits de Vladimir. Jamel voulait rendre un hommage à cette personne qui lui a donné envie de faire du cinéma. On reconnait Louis de Funes de part les mimiques ainsi que par l’aspect du visage et de cette chevelure. Mais Jamel va bien plus loin que ça, il va jusqu’à recréer des scènes issues des films dans lesquels à joué Louis de Funes comme par exemple « La Folie des Grandeurs ».
Faut-il aller voir Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze ? Moving Tahiti, Le 9 avril 2015.
Jamel «incarne» un chef de bande préhistorique malin et malingre, dans Pourquoi j’ai pas mangé mon père, un dessin animé trépidant et poilant qui retrace les premiers pas de l’humanité.
Les aventures loufoques d’un simien rejeté par sa tribu qui bouleverse les mœurs de ses congénères en les initiant au progrès. Jamel Debbouze se projette littéralement dans ce dessin animé en motion capture (une première en Europe) qu’il a écrit, réalisé et dont il tient le rôle titre.
Notre avis. Si l’homme descend du singe, il a bien fallu que le singe descende de l’arbre ! Pourquoi j’ai pas mangé mon père, tiré du best-seller de Roy Lewis Pourquoi j’ai mangé mon père, est fidèle, sinon à la lettre du moins à l’esprit décalé et burlesque de cette fable humaniste sur la différence, l’exclusion et la nécessité d’évoluer : «Le livre de Roy Lewis m’a fait penser à moi et à ceux qui ont vécu mon histoire, a confié Jamel Debbouze (Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, La marche). Édouard se fait jeter de l’arbre, il se casse un bras et invente la bipédie, pour compenser, se sauver lui-même. S’il ne se met pas debout, il se fait manger : il n’a pas d’autre alternative que d’évoluer. Il me ressemble à un point que je ne soupçonnais pas.»
Le comique raconte cette histoire d’adaptation à l’aube de l’humanité avec sa voix et son univers si personnels. Réalisateur et scénariste, l’humoriste prête également son corps (recouvert de capteurs pour les prises de vue en Motion Capture comme dans Avatar) au personnage d’Édouard, bras cassé d’une jungle en folie qui convoque Louis de Funès, le Roi Lion et Darwin pour composer une galerie de l’évolution hilarante. Et c’est sa femme, la journaliste Melissa Theuriau qui se glisse sous le masque simien de Lucy, la compagne d’Edouard, la première féministe de l’histoire de l’humanité.
On ira ? Oui, en famille, pour rire aux aventures loufoques d’un pré-humain très malin, qui défend la différence et le vivre ensemble.
Un film de Jamel Debbouze : Pourquoi j'ai pas mangé mon père ! Cromignon. Paris Match, Le 7 Avril 2015.
Après "La guerre du feu" de Jean-Jacques Annaud, "RRRrrr !" d’Alain Chabat, c’est au tour de Jamel de signer, pour sa première réalisation, une oeuvre préhistorique…ultra moderne ! Utilisant le procédé de la "motion capture", il nous offre un film d’animation joué par de vrais acteurs. Une première pour une production européenne.
Bien avant l’invention de la roue qui tourne, du feu qui brûle, de l’eau tiède qui mouille ni trop chaud ni trop froid et du texto d’ados pendant les repas, l’homo pas encore sapiens inventa la discrimination. Trop fluet, voire malingre, pour succéder à son père, le roi des simiens, le jeune Edouard (Jamel Debbouze) est rejeté par sa tribu. Recueilli par Ian, un solitaire au cœur aussi grand que le nez, le petit banni va devenir grand grâce à une trouvaille révolutionnaire : se tenir debout et marcher, puis, avec de l’entraînement, courir. Faut dire qu’avoir des loups préhistoriques aux trousses, ça aide… Petit corps, mais grand cerveau, Edouard va découvrir tout un tas de choses dont l’amour…
Qu’on le veuille ou non, Jamel Debbouze est devenu un monument national au même titre qu’un Johnny Hallyday, qu’une boîte de camenbert ou qu’un couscous marocain comme à la maison. Bête de la scène comique, acteur à réaction, défricheur d’humoristes en herbe avec son Jamel Comédie Club, artiste engagé sur tous les fronts sauf le national, l’immortel Numérobis de la "Mission Cléopâtre" crée la surprise (et la jalousie de certains), avec cette superproduction aussi animée que risquée. Le résultat est à l’image de son concepteur, à savoir, généreux, drôle, inventif, turbulent et, surtout, touchant.
S’inspirant de sa propre expérience du rejet, le malin malingre a mis beaucoup de lui-même dans son personnage. Dans des décors dignes du "Roi Lion" (une fois de plus, la 3D n’était pas indispensable), les intrigues s’enchevêtrent comme les lianes de l’arbre géant qui sert de refuge au clan des simiens. Survolté au point de nous faire parfois tombé de son film, Edouard Jamel mène la danse avec un charisme juvénil qui séduira les publics de tous les âges. Truffé de références rigolotes et de messages humanistes bienvenus en cette période de retour à la préhistoire de l’obscurantisme, "Pourquoi j’ai pas mangé mon père" mérite que vous sortiez de vos grottes à téléviseurs pour aller le voir en salle.
Critique de films : Pourquoi j'ai pas mangé mon père. Mulderville, Le 2 Avril 2015.
Le premier film de l’humoriste, comédien et producteur Jamel Debbouze est un long et beau projet que celui-ci a porté durant sept bonnes années. On sent un réel investissement non seulement au niveau du scénario (qu’il a co-écrit avec Frédérique Fougea) mais également au niveau des dialogues et du soin apporté à l’image et l’ambiance sonore du film. Edouard, son personnage c’est un peu son ancêtre préhistorique et ce n’est donc pas un hasard fortuit si le principal rôle féminin est tenu par Mélissa Theuriau (voix française de Rochelle dans Planes) et on retrouve également dans les voix principales Arié Elmaleh (Ian). La sincérité de cet excellent film d’animation français nous touche et surtout nous apporte une réelle fraîcheur et originalité face aux mastodontes américains que sont The Walt Disney Animation Studios, Pixar Animation Studios, DreamWorks Animation et 20th Century Fox Animation. Nous sommes donc loin avec le personnage d’Edouard d’un personnage de film d’animation traditionnel. Celui-ci suite à un accident intervenu à sa naissance subi un handicap important et rejeté par son père est recueilli par Ian un solitaire avec un dialecte incompréhensible. Par certains côtés, on pense au majestueux Roi Lion de Roger Allers et Rob Minkoff (1994) et à Tarzan de Kevin Lima et Chris Buck (1999), deux longs métrages d’animation de The Walt Disney Animation Studios.
En adaptant le livre de Roy Lewis paru dans les années 60 en Angleterre et en le remettant dans un contexte plus récent, le film nous parle tout simplement de l’évolution de l’homme, de ses handicaps et de sa volonté de s’adapter constamment à son temps. Ainsi Edouard va apprendre à marcher, à maîtriser le feu, à chasser et surtout faire la rencontre de Lucy , un ange tombé du ciel à proprement parlé. Une des nombreuses qualités de ce film d’animation c’est de ne jamais oublier d’avoir différents niveaux de lecture. De ce fait un public enfantin appréciera ce monde préhistorique avec cette tribu d’hommes préhistoriques et d’animaux surprenants tels les lapinosaures, les tortruches. Un public adulte appréciera les nombreux clins d’oeils à notre société actuelle comme le sport pratiqué par cette tribu simiesque, les soucis d’intégration et l’humanité qui se dégage de ce film.
Alors que la plupart des films d’animation sont faits soit de manière traditionnelle (dessins, croquis) soit assistés par ordinateur, Pourquoi j’ai pas mangé mon père quant à lui recourt à la motion capture. La mocap utilisée ici permet tout simplement de faire transparaître plus facilement les sentiments des personnages principaux à travers leur visage et leur manière de se comporter. En cela ce film concrétise une véritable avancée technologique car il s’agit tout simplement du premier film utilisant ce processus. Pourquoi j’ai pas mangé mon père réussit donc là où Le pôle express (2004) et La Légende de Beowulf (1997) avaient échoué par manque de consistance scénaristique. La froideur des personnages du film Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne (2011) ne permettait pas non plus d’être concluant et de s’imposer comme une réussite exemplaire. En cela, ce film par son scénario et son audace visuelle se révèle être tout simplement une réussite exemplaire d’un véritable savoir-faire.
Le réalisateur profite également de son premier film pour rendre un hommage à l’un de nos comédiens français populaires qui a marqué tout un pan du cinéma hexagonal. Le personnage de Vladimir a ainsi les traits de Louis de Funes et le résultat est aussi réussi qu’attachant. Il nous rappelle ainsi les films La Folie des grandeurs (1971). Pourquoi j’ai pas mangé mon père réussit donc aisément son objectif de nous divertir intelligemment et nous révèle une nouvelle facette de Jamel Debbouze qui laisse entrevoir un avenir prometteur en qualité de réalisateur.
"Pourquoi j'ai pas mangé mon père": Jamel Debbouze dans une drôle de préhistoire. CultureBox, le 4 Avril 2015.
On connaît l'extraversion de Jamel Debbouze, mais on ne l'attendait pas, pour la réalisation d'un premier film, dans le registre aussi déboussolé que s'avère "Pourquoi j'ai pas mangé mon père". Réalisation par ailleurs complexe, le film repose sur la "motion capture" qui consiste à filmer les acteurs avec des capteurs, ensuite retravaillés sur ordinateur pour leur donner une nouvelle nature.
Progressiste
Scénariste, réalisateur et acteur de "Pourquoi j'ai pas mangé mon père", Jamel Debbouze adapte librement le roman de Roy Lewis, "Pourquoi j'ai mangé mon père" ("The Evolution Man", publié en 1960). Si l'ouvrage est humoristique, le comédien en rajoute à foison et entend sensibiliser les plus jeunes, à partir de 6 ans, au propos évolutionniste de Lewis.
Son personnage central, Edouard, paria dans sa tribu des simiens, puis banni, s'avère le fer de lance de l'évolution en domestiquant le feu, inventant la chasse, le confort, même l'amour ! Aussi est-il une image du progrès faisant face à des réactionnaires, conservateurs… de tous poils.
L'humoriste remporte haut la main son pari, même si la toute première partie du film est quelque peu hystérique, par son rythme, la rapidité des dialogues et un niveau sonore élevé. Mais sans pour autant s'apaiser, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" se bonifie plus il avance. L'humour un peu laborieux du début s'affine et gagne en efficacité, en mettant en avant les anachronismes.
Rendre accessible sans simplifier
Les qualités plastiques, dans le graphisme et les couleurs, ne quittent jamais le film, ainsi qu'une belle texture sonore, très élaborée et à laquelle a participé l'Ircam (Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique). Les voix sont parfaites et drôles, tout comme la musique qui fait largement appel à la soul (Nina Simone, Aretha Franklin, Stevie Wonder, Barry White…) dont Debbouze est très amateur. La 3D est par ailleurs réussie et efficace, ce qui n'est pas si courant.
Tout en s'adressant aux plus jeunes, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ne trahit pas le sens de son origine livresque. Il le rend accessible sans le simplifier, en développant la nature ludique de l'original, par son scénario et son approche filmique. Le film valorise les valeurs de tolérance et de différence, s'employant à dénoncer tout conservatisme, sans pour autant être un tract. Car l'humour propre à Jamel Debbouze domine de bout en bout et touchera toute la famille. Une belle réussite, doublée d'une performance.
Critique : Pourquoi j’ai pas mangé mon père, de et avec Jamel Debbouze. Stimento, le 7 avril 2015.
★★★☆☆ Dans cette odyssée de l’espèce, Jamel Debbouze fait le clone et montre que l’Humanité fut inventée le jour où un primate préféra une tranche de savane à un morceau de congénère…
Dans la tribu des simiens, la femme du chef Siméon a donné naissance à des jumeaux. Si Marcel, se révèle imposant et agressif comme son père, son aîné Édouard, est plutôt rachitique et souriant. Vexé par cette progéniture appelée à lui succéder, Siméon ordonne, au mépris des règles du clan, de cacher l’existence de l’avorton et de le supprimer. Celui-ci survit pourtant, recueilli par un simien albinos vivant en marge du groupe. Quelques années plus tard, Édouard a compensé son manque de force par la sagacité et l’inventivité. Ses découvertes le replacent face à son père, qui en fait son protégé. Au grand dam de Marcel et de la sorcière, laquelle voit d’un mauvais œil cette “magie” concurrente…
Qui aurait pu penser que la Préhistoire eût été à ce point contemporaine ? Il ne s’agit pas d’une figure de style : Pourquoi j’ai pas mangé mon père se trouve être en plein dans l’air du temps. Cette confrontation entre, d’un côté les tenants d’une tradition imposant par la peur et la violence des convictions magiques ; de l’autre les partisans du progrès, résonne singulièrement (hélas) aujourd’hui. À croire que le combat entre l’obscurantisme crasse et les Lumières est un moteur nécessaire de l’évolution : pour que l’espèce humaine évolue dans sa totalité, il lui faut résoudre par l’affrontement l’immobilisme d’un sous-groupe réfractaire. Le convaincre en payant le prix de son sang, voire en risquant son extinction. De fait, chaque palier de cette évolution est un miracle (qui n’a rien de divin), un accident heureux dont les forces de progrès sont jusqu’à présent sorties vainqueurs. D’extrême justesse. Et l’Histoire — même la Préhistoire — se serait déjà arrêtée si les croyances irrationnelles avaient gouverné sans partage, si la voix discordante de la raison et de la logique ne s’étaient pas avisé d’y mettre leur grain de sel. Le combat est consubstantiel à l’évolution.
La raison du pas plus fort
Jamel Debbouze répète à l’envi qu’il n’était pas porté par le désir d’adapter le roman de Roy Lewis. On serait venu le chercher pour tenter de donner une forme à un scénario dormant d’un sommeil insomniaque dans un tiroir depuis une décennie. Le comédien aurait accepté pour des raisons tenant au « kif » : signer sa première réalisation tout en accomplissant une prouesse technologique (il s’agit du premier film d’animation en motion capture français) ; et assouvir le rêve de partager l’affiche avec Louis de Funès, grâce au comédien-mime Patrice Thibault qui “interprète” à la manière de Fufu les personnages de Vladimir et Serguey. Des motivations à la vanité assumée trop claironnées pour être honnêtes ! Jamel n’a pu rester indifférent aux valeurs portées par cette fable, ce conte parabolique : la naissance du sentiment d’humanité demeurant l’un des plus absolus mystères de notre civilisation, le porter à l’écran (comme Kubrick ou son copain Chabat avant lui) ne peut qu’exciter une imagination fertile. Est-il lié à la décision de porter en terre les défunts plutôt qu’en bouche ? À la conquête du feu ? À la pratique de la chasse ? À la bipédie ? Peu importe, puisque Édouard invente tout, par curiosité… et surtout par hasard. Polyvalent, autodidacte, débrouillard, hâbleur, ne laissant pas un obstacle physique l’empêcher d’accomplir ses projets, volontiers fédérateur, ce personnage n’a pas que la voix en commun avec Jamel Debbouze.
Habillage et babillage
Pourquoi j’ai pas mangé mon père ne recèle pas, dans ses soubassements, de secrets niveaux de lecture : le propos est limpide. Mais pas naïf, direct. L’histoire étant déjà une métaphore, à quoi bon surcharger le film de couches superflues car redondantes ? Cette absence de ramifications le distingue des machines à gags surécrites (très plaisantes au demeurant) fournies par les studios, mais interchangeables. En outre, le premier degré se justifie dans ce contexte où toutes les découvertes sont en train d’être faites. Cela laisse d’autant plus de place aux « décorateurs », aux comédiens et aux dialoguistes : chacun peut composer, personne n’entre en rivalité ; aucun brouhaha visuel ou auditif ne perturbe le message. L’extraordinaire, aujourd’hui, c’est d’oser la simplicité. Et devinez quoi ? Ça repose et c’est assez efficace.
Inconsciemment Jamel livre un divertissement qui ébranle certains fondamentaux religieux et rend ainsi la légèreté de son approche plus digérable.
Il est difficile de dire que J’ai pas mangé mon père appartienne aux projets auxquels on tient vraiment. La faute a une promo qui a commencé longtemps en amont qui a choqué les sensibilités esthétiques : des premiers visuels ont longtemps préfiguré ce projet colossal, tourné sur plusieurs années, avec un budget colossal de plus de 40M d’euros et une post-production des plus contraignantes, mais dès qu’un teaser tombait l’impression d’un raté de l’animation submergeait l’objectivité raisonnée. Pourquoi recourir au procédé le plus discutable du 7e art, la motion-capture, qui a ses amateurs, certes, mais qui, à part dans Avatar, a rarement su fédérer au-delà des puristes ? Et puis, l’on n’avait pas oublié l’insipidité de Sur la piste du Marsupilami, autre projet de poids qui n’avait pas à la hauteur de ses ambitions populaires, et qui avait divisé notre rédaction.
Il faut près d’un bon quart d’heure avant d’appréhender le positif de J’ai pas mangé mon mère. L’introduction relève en effet de la torture, avec la découverte des différents faciès, tous plus hideux les uns que les autres, et la texture terne des épidermes loin de la magnificence du rendu des productions américaines. Il faut donc d’abord se battre, lutter, pour voir du bon dans cette introduction où l’on ressuscite maladroitement Louis de Funès dans la peau mesquine d’un personnage obséquieux assez détestable, fait de tics et de perfidie, où le décor bucolique environnant emprunte l’ivresse de la fluidité de Tarzan et le goût de la grandiloquence majestueuse du Roi Lion, pour ses scènes de promontoire, deux productions Disney qui servent dans un premier temps de référence de décor un peu trop encombrante.
Le temps de l’adaptation passé (le métrage fait près d’1h40), on est beaucoup moins sévère. Jamel a vu grand et l’animation offre des moments d’une très grande puissance... Quelques courses poursuites épiques, un gigantisme numérique comme on a rarement l’occasion d’en voir en France, des cycles burlesques parfaitement maîtrisés, écrits, dirigés et mis en scène, aux antipodes du traitement informatif du Marsupilami. Debbouze, réalisateur et acteur, s’évertue à montrer l’argent à l’écran, effaçant les doutes d’un caprice de star qui ne serait jamais justifié (quoiqu’il faudra le vendre celui-ci à l’étranger, et ce n’est pas gagné !).
Toutefois, où est Jamel le rebel, impliqué dans des projets humains, politiques et sociaux ? Celui de La Marche, Indigènes et Hors la loi ? L’a-t-on perdu ? Pas forcément. Inconsciemment, ce qui frappe le plus au-delà de la démesure des ambitions, c’est un discours de l’évolution qui apaise. A l’heure des obsessions médiatiques des cultes, des rassemblements des communautés autour de la foi, Debbouze offre un discours fédérateur de défiance à l’égard de la magie, des pseudo miracles, du détournement du pouvoir ou de sa manipulation des croyances pour parvenir à des desseins pas très catholiques.
En incarnant un fils simiesque de roi singe déchu à sa naissance pour sa carrure chétive indigne du trône, mais qui va fédérer autour de lui, à son retour, tout un peuple, par son intelligence, il devient une figure politique forte, sortant l’animal de l’obscurantisme, le conduisant à maîtriser son corps de bipède et à utiliser le feu. Il l’extirpe de son arbre caverneux pour rationaliser ses peurs de l’inconnu et affronter positivement la vie qui l’attend devant lui, sous un ciel bleu où tout reste à construire, notamment la culture (bon certes, un hit pour alimenter quelques ventes sur les plateformes de téléchargement et aider à la promotion du film). Mais on aime découvrir la possibilité de pistes de lecture au-delà du divertissement pour mômes, car c’est surtout de cela qu’il s’agit, Pourquoi j’ai pas mangé mon père, dans ses formes plaira surtout aux enfants.
Au final, peu importe ce qu’il adviendra de la carrière commerciale de cette version française des Croods, un enjeu en forme d’épée de Damoclès pour Pathé et Debbouze, qui doivent assumer l’énormité de pareil enjeu, l’essentiel à notre niveau est d’avoir su prendre un certain plaisir face à ce spectacle gonflé et généreux. Cette expérience française de Motion-Capture n’est ni le désastre redouté, ni le spectacle populaire fade qu’il pouvait laisser transparaître au premier abord, il suinte l’effort, la volonté de transcender les préjugés et ne trahit jamais la pertinence politique de Jamel qui demeure l’une des personnalités françaises les plus intéressantes de sa génération.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze : critique. Ciné Chronique, Le 6 avril 2015
Grande première pour Jamel Debbouze qui s’empare ici du poste de réalisateur pour son premier long métrage. Initialement intégré en tant que doubleur d’Edouard, personnage simiesque central, Jamel a repris les rênes du projet abandonné à l’état de scénario. Pourquoi j’ai pas mangé mon père est l’adaptation du roman à succès homonyme de Roy Lewis. De ce projet de base, Jamel avoue n’avoir conservé que le tandem des frères Edouard et Vania, à ceci près qu’ils deviennent jumeaux dans le film. Tout en conservant le ton du livre, il en adapte les dialogues, préférant un langage plus moderne, terrain de jeu de prédilection du comique. Les fans de ses néologismes abracadabrants et de sa gestuelle exacerbée ne seront pas déçus. Jamel réalisateur, mais aussi scénariste et directeur d’acteurs, impose dès lors fortement sa patte personnelle. Pourquoi j’ai pas mangé mon père espère ainsi faire rire les amateurs des vannes du comique depuis Astérix Mission Cléopâtre ou la série H de Canal +, comme leurs enfants venus voir ce dessin animé avec leurs parents. Jamel emploie aussi le comique de situation, déclinant des scènes de vie quotidienne dans leur version préhistorique. On découvre ainsi un sport entre football et Quidditch, comment draguer façon « paléoli-street », ou encore la rencontre du portugais préhistorique et son indéfectible passion pour la maçonnerie. Il rend également un hommage à Louis de Funès pour les séances de rire en famille qu’il lui ont été prodiguées durant sa jeunesse. Ainsi est né le personnage de Vladimir, fruit d’un travail en partenariat avec Olivier de Funès, son fils. Si on retrouve l’essence du génie, l’interprétation diffère forcément. On apprécie ici sa simple imitation basée sur les mimiques célèbres de l’immense comédien et sur ses phonèmes prononcés, compilés puis triangulés par un logiciel pour reconstituer sa voix légendaire.
La motion capture, popularisée par Peter Jackson et James Cameron, ont rendu possible la retranscription de toutes les pitreries de Jamel, comme s’il apparaissait en personne à l’écran. Cela n’a toutefois pas été une mince affaire. Faire le singe impose d’être à quatre pattes de longues heures durant, de grimper partout, d’être agile et libre de ses mouvements, ce qui constitue déjà un défi en soi pour les acteurs. Un défi relevé de prime abord grâce à une technologie américaine très contraignante, notamment concernant le poids du casque pesant à lui seul 7 kilos. Il a donc fallu un an à l’équipe pour trouver des solutions et arriver au résultat impressionnant d’un casque passant de 7 kilos à 400 grammes. Pourquoi j’ai pas mangé mon père a aussi été tourné dans le plus grand studio de motion capture d’Europe situé en Seine Saint Denis, où le plateau de 1000m2 bardé de 70 caméras disposées sur 360° pouvait accueillir jusqu’à 15 acteurs à la fois. Une prouesse face aux anglo-saxons dépassant rarement les 4-5 acteurs.
L’étape de post-production s’est déroulée ensuite dans les studios indiens, en charge entre autres de L’Odyssée de Pi. Au terme de cette gestation, le rendu visuel est agréable à l’œil, les décors sont denses et riches en mouvements, les animaux qui le peuplent sont graphiquement réussis, formant des chimères enfantines issues d’un croisement entre la faune actuelle et leurs ancêtres paléolithiques. On s’amuse avec ces drôles de bestioles aux doux noms de lapinosaure ou encore de tortrûche, dans un univers visuel à la croisée entre L’Âge de Glace et le Tarzan des studios Disney. Bien qu’innovant, le système technique reste à perfectionner sur le plan des expressions faciales. D’une part, les caméras-visage, dont les optiques sont de moindre qualité dans l’équipement français, n’exploitent pas pleinement le potentiel de la motion capture. L’ensemble, forcément loin des standards actuels comme les primates de La Planète des Singes (nos critiques LES ORIGINES, L’AFFRONTEMENT) ou Smaug du Hobbit, ne nuit cependant pas à la qualité de l’œuvre, si tant est que l’apparence anthropomorphique des singes ne rebute pas.
Bien qu’il s’adresse à un public jeune, Pourquoi j’ai pas mangé mon père aborde habilement et avec humour des thèmes et des problèmes d’adultes. Jamel y développe ses sujets de prédilection comme l’exclusion, le rejet des individus hors-normes et la peur du chômage, moteur de plusieurs personnages. Le récit arbore aussi un discours écologique, renvoyant à Avatar et son colossal arbre-maison riche en symboles, et la lutte entre nature respectée et soif de profits. Les problèmes sociaux sont exposés aux enfants de manière simple, enrobés par les vannes d’Edouard à l’élocution si particulière. Le dessin animé invite ainsi à revisiter les premières grandes découvertes et inventions de l’Homme au fil des déboires de cet héritier insoupçonné du trône de Roi des Singes. Il se bat constamment contre les conventions établies au moyen de ses innovations, comme son « nouveau concept de moyen de locomotion reposant sur la bipédie debout » ou encore l’ « attrape-touche », qui sert donc à attraper tout ce que ça touche.
Quant à la bande son entre musiques du monde et sonorités de la jungle, elle s’harmonise avec la chanson Get up et fais ton truc, qui amusera les enfants. Elle sait rester discrète et sert le film dans ses oscillations émotionnelles, avec des titres de Nina Simone, Barry White, Stevie Wonder ou encore Aretha Franklin. Un registre résolument soul et tendre qui place l’amour comme thème central. Ainsi, entre projet très personnel et gestation de 7 ans, ce film se révèle quasi métaphorique du parcours de Jamel, avec un personnage clamant que l’on ne doit pas oublier d’où l’on vient, ni les promesses faites. Pourquoi j’ai pas mangé mon père tient ainsi sa promesse tout en faisant passer un bon moment en famille où à ceux ayant ri devant Astérix : Mission Cléopâtre et même La Folie des Grandeurs.
On aime... Pourquoi j'ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze. The Smart Girls Blog, Le 7 avril 2015
Mercredi dernier, Acer, partenaire du film offrait la possibilité à plusieurs blogueurs d’assister à l’avant-première du film « Pourquoi J’ai pas mangé mon Père » dans les locaux de Pathé. Au programme, cocktail dinatoire et projection du film.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze est l’adaptation du roman « Pourquoi J’ai Mangé Mon Père » de Roy Lewis. Lors du Showeb de Printemps, Jamel s’était rendu sur scène pour nous parler de son film. Entièrement réalisé en Motion Capture, ce projet aura demandé pas moins de 7 ans. Il s’agit du premier film tourné en Europe utilisant intégralement cette performance-capture.
Concernant l’histoire du film, il sera question de l’évolution de l’Homme avec entre autre la découverte inopinée de la bipédie, du feu mais pas que… Nous allons suivre les aventures d’Edouard (doublé par Jamel Debbouze) un jeune simien et fils aîné du roi qui lors de sa naissance fût abandonné car son père le trouvait trop gringalet. Il sera ensuite recueilli par Ian (doublé par Arié Elmaleh) un singe gentillet, naïf, et attachant. Edouard s’interroge continuellement sur son monde, il essaie de le comprendre et découvre de nouveaux matériaux. Quelques années plus tard, Edouard revient auprès des simiens mais tout ne se passe pas comme prévu.
Plus tard il fera la connaissance de Lucy (doublée par Mélissa Theuriau) dont il tombera amoureux. Il va à ses côtés découvrir autre chose que l’arbre dans lequel il à toujours vécu, à commencer par les espèces animales, des sortes d’autruches avec des carapaces de tortue, des girafes avec des cornes de rhinocéros ou encore des lapins léopard.
Bref, vous l’auriez bien compris on va suivre l’évolution de l’Homme, le singe qui descend de l’arbre et découvre son environnement. Cette évolution se fait rapidement avec l’humour que l’on connait tant de Jamel.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père est destiné à un public assez jeune, qui pourront ainsi découvrir l’évolution de l’homme de manière amusante. Cela dit les grands aimeront également, certains passages du film sont très drôles.
Pourquoi j’ai pas mangé mon père nous fait revivre un grand acteur du cinéma français, Louis de Funes sous les traits de Vladimir. Jamel voulait rendre un hommage à cette personne qui lui a donné envie de faire du cinéma. On reconnait Louis de Funes de part les mimiques ainsi que par l’aspect du visage et de cette chevelure. Mais Jamel va bien plus loin que ça, il va jusqu’à recréer des scènes issues des films dans lesquels à joué Louis de Funes comme par exemple « La Folie des Grandeurs ».
Faut-il aller voir Pourquoi j’ai pas mangé mon père de Jamel Debbouze ? Moving Tahiti, Le 9 avril 2015.
Jamel «incarne» un chef de bande préhistorique malin et malingre, dans Pourquoi j’ai pas mangé mon père, un dessin animé trépidant et poilant qui retrace les premiers pas de l’humanité.
Les aventures loufoques d’un simien rejeté par sa tribu qui bouleverse les mœurs de ses congénères en les initiant au progrès. Jamel Debbouze se projette littéralement dans ce dessin animé en motion capture (une première en Europe) qu’il a écrit, réalisé et dont il tient le rôle titre.
Notre avis. Si l’homme descend du singe, il a bien fallu que le singe descende de l’arbre ! Pourquoi j’ai pas mangé mon père, tiré du best-seller de Roy Lewis Pourquoi j’ai mangé mon père, est fidèle, sinon à la lettre du moins à l’esprit décalé et burlesque de cette fable humaniste sur la différence, l’exclusion et la nécessité d’évoluer : «Le livre de Roy Lewis m’a fait penser à moi et à ceux qui ont vécu mon histoire, a confié Jamel Debbouze (Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, La marche). Édouard se fait jeter de l’arbre, il se casse un bras et invente la bipédie, pour compenser, se sauver lui-même. S’il ne se met pas debout, il se fait manger : il n’a pas d’autre alternative que d’évoluer. Il me ressemble à un point que je ne soupçonnais pas.»
Le comique raconte cette histoire d’adaptation à l’aube de l’humanité avec sa voix et son univers si personnels. Réalisateur et scénariste, l’humoriste prête également son corps (recouvert de capteurs pour les prises de vue en Motion Capture comme dans Avatar) au personnage d’Édouard, bras cassé d’une jungle en folie qui convoque Louis de Funès, le Roi Lion et Darwin pour composer une galerie de l’évolution hilarante. Et c’est sa femme, la journaliste Melissa Theuriau qui se glisse sous le masque simien de Lucy, la compagne d’Edouard, la première féministe de l’histoire de l’humanité.
On ira ? Oui, en famille, pour rire aux aventures loufoques d’un pré-humain très malin, qui défend la différence et le vivre ensemble.
Un film de Jamel Debbouze : Pourquoi j'ai pas mangé mon père ! Cromignon. Paris Match, Le 7 Avril 2015.
Après "La guerre du feu" de Jean-Jacques Annaud, "RRRrrr !" d’Alain Chabat, c’est au tour de Jamel de signer, pour sa première réalisation, une oeuvre préhistorique…ultra moderne ! Utilisant le procédé de la "motion capture", il nous offre un film d’animation joué par de vrais acteurs. Une première pour une production européenne.
Bien avant l’invention de la roue qui tourne, du feu qui brûle, de l’eau tiède qui mouille ni trop chaud ni trop froid et du texto d’ados pendant les repas, l’homo pas encore sapiens inventa la discrimination. Trop fluet, voire malingre, pour succéder à son père, le roi des simiens, le jeune Edouard (Jamel Debbouze) est rejeté par sa tribu. Recueilli par Ian, un solitaire au cœur aussi grand que le nez, le petit banni va devenir grand grâce à une trouvaille révolutionnaire : se tenir debout et marcher, puis, avec de l’entraînement, courir. Faut dire qu’avoir des loups préhistoriques aux trousses, ça aide… Petit corps, mais grand cerveau, Edouard va découvrir tout un tas de choses dont l’amour…
Qu’on le veuille ou non, Jamel Debbouze est devenu un monument national au même titre qu’un Johnny Hallyday, qu’une boîte de camenbert ou qu’un couscous marocain comme à la maison. Bête de la scène comique, acteur à réaction, défricheur d’humoristes en herbe avec son Jamel Comédie Club, artiste engagé sur tous les fronts sauf le national, l’immortel Numérobis de la "Mission Cléopâtre" crée la surprise (et la jalousie de certains), avec cette superproduction aussi animée que risquée. Le résultat est à l’image de son concepteur, à savoir, généreux, drôle, inventif, turbulent et, surtout, touchant.
S’inspirant de sa propre expérience du rejet, le malin malingre a mis beaucoup de lui-même dans son personnage. Dans des décors dignes du "Roi Lion" (une fois de plus, la 3D n’était pas indispensable), les intrigues s’enchevêtrent comme les lianes de l’arbre géant qui sert de refuge au clan des simiens. Survolté au point de nous faire parfois tombé de son film, Edouard Jamel mène la danse avec un charisme juvénil qui séduira les publics de tous les âges. Truffé de références rigolotes et de messages humanistes bienvenus en cette période de retour à la préhistoire de l’obscurantisme, "Pourquoi j’ai pas mangé mon père" mérite que vous sortiez de vos grottes à téléviseurs pour aller le voir en salle.
Critique de films : Pourquoi j'ai pas mangé mon père. Mulderville, Le 2 Avril 2015.
Le premier film de l’humoriste, comédien et producteur Jamel Debbouze est un long et beau projet que celui-ci a porté durant sept bonnes années. On sent un réel investissement non seulement au niveau du scénario (qu’il a co-écrit avec Frédérique Fougea) mais également au niveau des dialogues et du soin apporté à l’image et l’ambiance sonore du film. Edouard, son personnage c’est un peu son ancêtre préhistorique et ce n’est donc pas un hasard fortuit si le principal rôle féminin est tenu par Mélissa Theuriau (voix française de Rochelle dans Planes) et on retrouve également dans les voix principales Arié Elmaleh (Ian). La sincérité de cet excellent film d’animation français nous touche et surtout nous apporte une réelle fraîcheur et originalité face aux mastodontes américains que sont The Walt Disney Animation Studios, Pixar Animation Studios, DreamWorks Animation et 20th Century Fox Animation. Nous sommes donc loin avec le personnage d’Edouard d’un personnage de film d’animation traditionnel. Celui-ci suite à un accident intervenu à sa naissance subi un handicap important et rejeté par son père est recueilli par Ian un solitaire avec un dialecte incompréhensible. Par certains côtés, on pense au majestueux Roi Lion de Roger Allers et Rob Minkoff (1994) et à Tarzan de Kevin Lima et Chris Buck (1999), deux longs métrages d’animation de The Walt Disney Animation Studios.
En adaptant le livre de Roy Lewis paru dans les années 60 en Angleterre et en le remettant dans un contexte plus récent, le film nous parle tout simplement de l’évolution de l’homme, de ses handicaps et de sa volonté de s’adapter constamment à son temps. Ainsi Edouard va apprendre à marcher, à maîtriser le feu, à chasser et surtout faire la rencontre de Lucy , un ange tombé du ciel à proprement parlé. Une des nombreuses qualités de ce film d’animation c’est de ne jamais oublier d’avoir différents niveaux de lecture. De ce fait un public enfantin appréciera ce monde préhistorique avec cette tribu d’hommes préhistoriques et d’animaux surprenants tels les lapinosaures, les tortruches. Un public adulte appréciera les nombreux clins d’oeils à notre société actuelle comme le sport pratiqué par cette tribu simiesque, les soucis d’intégration et l’humanité qui se dégage de ce film.
Alors que la plupart des films d’animation sont faits soit de manière traditionnelle (dessins, croquis) soit assistés par ordinateur, Pourquoi j’ai pas mangé mon père quant à lui recourt à la motion capture. La mocap utilisée ici permet tout simplement de faire transparaître plus facilement les sentiments des personnages principaux à travers leur visage et leur manière de se comporter. En cela ce film concrétise une véritable avancée technologique car il s’agit tout simplement du premier film utilisant ce processus. Pourquoi j’ai pas mangé mon père réussit donc là où Le pôle express (2004) et La Légende de Beowulf (1997) avaient échoué par manque de consistance scénaristique. La froideur des personnages du film Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne (2011) ne permettait pas non plus d’être concluant et de s’imposer comme une réussite exemplaire. En cela, ce film par son scénario et son audace visuelle se révèle être tout simplement une réussite exemplaire d’un véritable savoir-faire.
Le réalisateur profite également de son premier film pour rendre un hommage à l’un de nos comédiens français populaires qui a marqué tout un pan du cinéma hexagonal. Le personnage de Vladimir a ainsi les traits de Louis de Funes et le résultat est aussi réussi qu’attachant. Il nous rappelle ainsi les films La Folie des grandeurs (1971). Pourquoi j’ai pas mangé mon père réussit donc aisément son objectif de nous divertir intelligemment et nous révèle une nouvelle facette de Jamel Debbouze qui laisse entrevoir un avenir prometteur en qualité de réalisateur.
"Pourquoi j'ai pas mangé mon père": Jamel Debbouze dans une drôle de préhistoire. CultureBox, le 4 Avril 2015.
On connaît l'extraversion de Jamel Debbouze, mais on ne l'attendait pas, pour la réalisation d'un premier film, dans le registre aussi déboussolé que s'avère "Pourquoi j'ai pas mangé mon père". Réalisation par ailleurs complexe, le film repose sur la "motion capture" qui consiste à filmer les acteurs avec des capteurs, ensuite retravaillés sur ordinateur pour leur donner une nouvelle nature.
Progressiste
Scénariste, réalisateur et acteur de "Pourquoi j'ai pas mangé mon père", Jamel Debbouze adapte librement le roman de Roy Lewis, "Pourquoi j'ai mangé mon père" ("The Evolution Man", publié en 1960). Si l'ouvrage est humoristique, le comédien en rajoute à foison et entend sensibiliser les plus jeunes, à partir de 6 ans, au propos évolutionniste de Lewis.
Son personnage central, Edouard, paria dans sa tribu des simiens, puis banni, s'avère le fer de lance de l'évolution en domestiquant le feu, inventant la chasse, le confort, même l'amour ! Aussi est-il une image du progrès faisant face à des réactionnaires, conservateurs… de tous poils.
L'humoriste remporte haut la main son pari, même si la toute première partie du film est quelque peu hystérique, par son rythme, la rapidité des dialogues et un niveau sonore élevé. Mais sans pour autant s'apaiser, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" se bonifie plus il avance. L'humour un peu laborieux du début s'affine et gagne en efficacité, en mettant en avant les anachronismes.
Rendre accessible sans simplifier
Les qualités plastiques, dans le graphisme et les couleurs, ne quittent jamais le film, ainsi qu'une belle texture sonore, très élaborée et à laquelle a participé l'Ircam (Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique). Les voix sont parfaites et drôles, tout comme la musique qui fait largement appel à la soul (Nina Simone, Aretha Franklin, Stevie Wonder, Barry White…) dont Debbouze est très amateur. La 3D est par ailleurs réussie et efficace, ce qui n'est pas si courant.
Tout en s'adressant aux plus jeunes, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ne trahit pas le sens de son origine livresque. Il le rend accessible sans le simplifier, en développant la nature ludique de l'original, par son scénario et son approche filmique. Le film valorise les valeurs de tolérance et de différence, s'employant à dénoncer tout conservatisme, sans pour autant être un tract. Car l'humour propre à Jamel Debbouze domine de bout en bout et touchera toute la famille. Une belle réussite, doublée d'une performance.
Critique : Pourquoi j’ai pas mangé mon père, de et avec Jamel Debbouze. Stimento, le 7 avril 2015.
★★★☆☆ Dans cette odyssée de l’espèce, Jamel Debbouze fait le clone et montre que l’Humanité fut inventée le jour où un primate préféra une tranche de savane à un morceau de congénère…
Dans la tribu des simiens, la femme du chef Siméon a donné naissance à des jumeaux. Si Marcel, se révèle imposant et agressif comme son père, son aîné Édouard, est plutôt rachitique et souriant. Vexé par cette progéniture appelée à lui succéder, Siméon ordonne, au mépris des règles du clan, de cacher l’existence de l’avorton et de le supprimer. Celui-ci survit pourtant, recueilli par un simien albinos vivant en marge du groupe. Quelques années plus tard, Édouard a compensé son manque de force par la sagacité et l’inventivité. Ses découvertes le replacent face à son père, qui en fait son protégé. Au grand dam de Marcel et de la sorcière, laquelle voit d’un mauvais œil cette “magie” concurrente…
Qui aurait pu penser que la Préhistoire eût été à ce point contemporaine ? Il ne s’agit pas d’une figure de style : Pourquoi j’ai pas mangé mon père se trouve être en plein dans l’air du temps. Cette confrontation entre, d’un côté les tenants d’une tradition imposant par la peur et la violence des convictions magiques ; de l’autre les partisans du progrès, résonne singulièrement (hélas) aujourd’hui. À croire que le combat entre l’obscurantisme crasse et les Lumières est un moteur nécessaire de l’évolution : pour que l’espèce humaine évolue dans sa totalité, il lui faut résoudre par l’affrontement l’immobilisme d’un sous-groupe réfractaire. Le convaincre en payant le prix de son sang, voire en risquant son extinction. De fait, chaque palier de cette évolution est un miracle (qui n’a rien de divin), un accident heureux dont les forces de progrès sont jusqu’à présent sorties vainqueurs. D’extrême justesse. Et l’Histoire — même la Préhistoire — se serait déjà arrêtée si les croyances irrationnelles avaient gouverné sans partage, si la voix discordante de la raison et de la logique ne s’étaient pas avisé d’y mettre leur grain de sel. Le combat est consubstantiel à l’évolution.
La raison du pas plus fort
Jamel Debbouze répète à l’envi qu’il n’était pas porté par le désir d’adapter le roman de Roy Lewis. On serait venu le chercher pour tenter de donner une forme à un scénario dormant d’un sommeil insomniaque dans un tiroir depuis une décennie. Le comédien aurait accepté pour des raisons tenant au « kif » : signer sa première réalisation tout en accomplissant une prouesse technologique (il s’agit du premier film d’animation en motion capture français) ; et assouvir le rêve de partager l’affiche avec Louis de Funès, grâce au comédien-mime Patrice Thibault qui “interprète” à la manière de Fufu les personnages de Vladimir et Serguey. Des motivations à la vanité assumée trop claironnées pour être honnêtes ! Jamel n’a pu rester indifférent aux valeurs portées par cette fable, ce conte parabolique : la naissance du sentiment d’humanité demeurant l’un des plus absolus mystères de notre civilisation, le porter à l’écran (comme Kubrick ou son copain Chabat avant lui) ne peut qu’exciter une imagination fertile. Est-il lié à la décision de porter en terre les défunts plutôt qu’en bouche ? À la conquête du feu ? À la pratique de la chasse ? À la bipédie ? Peu importe, puisque Édouard invente tout, par curiosité… et surtout par hasard. Polyvalent, autodidacte, débrouillard, hâbleur, ne laissant pas un obstacle physique l’empêcher d’accomplir ses projets, volontiers fédérateur, ce personnage n’a pas que la voix en commun avec Jamel Debbouze.
Habillage et babillage
Pourquoi j’ai pas mangé mon père ne recèle pas, dans ses soubassements, de secrets niveaux de lecture : le propos est limpide. Mais pas naïf, direct. L’histoire étant déjà une métaphore, à quoi bon surcharger le film de couches superflues car redondantes ? Cette absence de ramifications le distingue des machines à gags surécrites (très plaisantes au demeurant) fournies par les studios, mais interchangeables. En outre, le premier degré se justifie dans ce contexte où toutes les découvertes sont en train d’être faites. Cela laisse d’autant plus de place aux « décorateurs », aux comédiens et aux dialoguistes : chacun peut composer, personne n’entre en rivalité ; aucun brouhaha visuel ou auditif ne perturbe le message. L’extraordinaire, aujourd’hui, c’est d’oser la simplicité. Et devinez quoi ? Ça repose et c’est assez efficace.
Laurent Perez del Mar signe la musique originale de ce film d'animation, première réalisation de Jamel. On y entend également de la Soul (Nina Simone, Barry White, Aretha Franklin, Stevie Wonder) et de l'electro (Skrillex, Merlot et DJ Kore).
Jamel était très impliqué.
On a fait de longues séances de travail dans un studio pour discuter. Il a tout écouté. Il est venu à Abbey Road pour l'enregistrement. De plus, il adore et connaît très bien la musique de film, y compris celle des années 60/70. On a eu une vraie collaboration. Jamel a vraiment considéré que la musique avait un rôle à jouer, il pensait aux films américains qui mettent la musique en avant. Je le connaissais comme tout le monde en tant que comique, et je ne savais à quel point il était sensible à la musique. Il a toujours eu dans le travail des avis pertinents. Il a un vrai sens de la musique à l'image. Il sait en quoi la musique peut contribuer à faire fonctionner ses "vannes", par des arrêts ou des changements de rythme. La musique doit savoir laisser la place aux situations comiques. On a ainsi enlevé des musiques pour que la "vanne" vive pleinement.
Les thèmes.
Il y a trois thèmes dans le film : celui de Edouard, celui de Vania, et celui de Siméon. J'ai procédé à l'ancienne en jouant sur ces thèmes, un peu comme dans "Indiana Jones" ou "Star Wars" qui étaient des références pour Jamel.
Les chansons.
Jamel savait exactement à quels endroits il allait mettre des chansons. Elles étaient déjà choisies quand je suis intervenu. Pour la scène de la tornade, on entend Barry White, ce morceau était là dés le départ donc j'ai adapté la tonalité de ma composition pour cette scène à la tonalité de Barry White. Pareil sur la dernière musique qui s'enchaîne sur Stevie Wonder.
A l'image.
J'ai écrit la musique à l'image, donc c'est précis, à l'image près. Même si je n'aime pas les synchronismes sur les actions, je m'adapte au rythme du montage, à part sur la première scène du film pour laquelle Jamel est parti au tournage avec mon thème écrit en amont.
Propos de Jamel sur les chansons :
Nina Simone, Barry White, Aretha Franklin, Stevie Wonder... La soul, musique de l'âme, musique universelle, m'a fait rêver. Elle m'a rendu tendre également, sûrement parce qu'elle place l'amour au cœur des préoccupations. La soul est porteuse de bonnes vibrations et de valeurs importantes. Je trouve qu'elle colle parfaitement aux relations entre Lucy et Edouard. Il faut citer aussi
Skrillex, Merlot et DJ Kore qui m'a composé un morceau absolument dingue pour la scène dans les cavernes.
La Bande Originale :
1. La cérémonie (feat. Eklips) 1:42
2. La montagne blanche (feat. Zap Mama) 2:01
3. La tornade 3:00
4. La migration 1:22
5. Get up et fais ton truc (feat. Jamel Debbouze, Mayer, Billy Blue) Amazing Lucy Positive Vibes 3:05
6. L'arrivée au Banian (feat. Zap Mama) 1:23
7. La poursuite 3:06
8. Vania retourne au banian 2:20
9. Le combat et l'incendie 3:05
10. Vania et Siméon 1:07
11. L'attaque des sauterelles 1:10
12. I Wish I Knew How It Would Feel to Be Free Nina Simone 3:06
13. Le roi Siméon 2:13
14. La désolation 2:19
15. La bipédie d'Edouard 0:43
16. Edouard et Lucy 1:13
17. L'attaque des insectes 1:09
18. Think (feat. The Blues Brothers) Aretha Franklin 3:15
19. La bipédie de Lucy 1:32
20. La sorcière 2:39
21. Sur la branche 1:19
22. Thème de Vania 1:48
23. La convocation 1:59
24. Zimzou 1:13
25. The Greatest Cat Power 3:22
26. Le sacrifice de Siméon 1:46
27. Personne ne mange mon père 2:44
28. Le touche attrape 1:39
29. Le malingre 5:24
30. Le carnivorum 2:10
31. En route vers le banian 1:14
32. Shouva n'existe pas 1:00
33. Suite orchestrale 13:20
Achetez dès maintenant la Bande-Originale du film !
Jamel était très impliqué.
On a fait de longues séances de travail dans un studio pour discuter. Il a tout écouté. Il est venu à Abbey Road pour l'enregistrement. De plus, il adore et connaît très bien la musique de film, y compris celle des années 60/70. On a eu une vraie collaboration. Jamel a vraiment considéré que la musique avait un rôle à jouer, il pensait aux films américains qui mettent la musique en avant. Je le connaissais comme tout le monde en tant que comique, et je ne savais à quel point il était sensible à la musique. Il a toujours eu dans le travail des avis pertinents. Il a un vrai sens de la musique à l'image. Il sait en quoi la musique peut contribuer à faire fonctionner ses "vannes", par des arrêts ou des changements de rythme. La musique doit savoir laisser la place aux situations comiques. On a ainsi enlevé des musiques pour que la "vanne" vive pleinement.
Les thèmes.
Il y a trois thèmes dans le film : celui de Edouard, celui de Vania, et celui de Siméon. J'ai procédé à l'ancienne en jouant sur ces thèmes, un peu comme dans "Indiana Jones" ou "Star Wars" qui étaient des références pour Jamel.
Les chansons.
Jamel savait exactement à quels endroits il allait mettre des chansons. Elles étaient déjà choisies quand je suis intervenu. Pour la scène de la tornade, on entend Barry White, ce morceau était là dés le départ donc j'ai adapté la tonalité de ma composition pour cette scène à la tonalité de Barry White. Pareil sur la dernière musique qui s'enchaîne sur Stevie Wonder.
A l'image.
J'ai écrit la musique à l'image, donc c'est précis, à l'image près. Même si je n'aime pas les synchronismes sur les actions, je m'adapte au rythme du montage, à part sur la première scène du film pour laquelle Jamel est parti au tournage avec mon thème écrit en amont.
Laurent Perez del Mar
Propos de Jamel sur les chansons :
Nina Simone, Barry White, Aretha Franklin, Stevie Wonder... La soul, musique de l'âme, musique universelle, m'a fait rêver. Elle m'a rendu tendre également, sûrement parce qu'elle place l'amour au cœur des préoccupations. La soul est porteuse de bonnes vibrations et de valeurs importantes. Je trouve qu'elle colle parfaitement aux relations entre Lucy et Edouard. Il faut citer aussi
Skrillex, Merlot et DJ Kore qui m'a composé un morceau absolument dingue pour la scène dans les cavernes.
La Bande Originale :
1. La cérémonie (feat. Eklips) 1:42
2. La montagne blanche (feat. Zap Mama) 2:01
3. La tornade 3:00
4. La migration 1:22
5. Get up et fais ton truc (feat. Jamel Debbouze, Mayer, Billy Blue) Amazing Lucy Positive Vibes 3:05
6. L'arrivée au Banian (feat. Zap Mama) 1:23
7. La poursuite 3:06
8. Vania retourne au banian 2:20
9. Le combat et l'incendie 3:05
10. Vania et Siméon 1:07
11. L'attaque des sauterelles 1:10
12. I Wish I Knew How It Would Feel to Be Free Nina Simone 3:06
13. Le roi Siméon 2:13
14. La désolation 2:19
15. La bipédie d'Edouard 0:43
16. Edouard et Lucy 1:13
17. L'attaque des insectes 1:09
18. Think (feat. The Blues Brothers) Aretha Franklin 3:15
19. La bipédie de Lucy 1:32
20. La sorcière 2:39
21. Sur la branche 1:19
22. Thème de Vania 1:48
23. La convocation 1:59
24. Zimzou 1:13
25. The Greatest Cat Power 3:22
26. Le sacrifice de Siméon 1:46
27. Personne ne mange mon père 2:44
28. Le touche attrape 1:39
29. Le malingre 5:24
30. Le carnivorum 2:10
31. En route vers le banian 1:14
32. Shouva n'existe pas 1:00
33. Suite orchestrale 13:20
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PREMIER TEASER : LE CINEMA DE JAMEL Découvrez les premières images du film "Pourquoi j'ai pas mangé mon père". |
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PRE-TEASER : PARODIE DU ROI LION Dans ce pré-teaser de "Pourquoi j'ai pas mangé mon père", les créatures, toutes plus originales les unes que les autres, convergent vers un seul et même but : serait-ce d'aller à la rencontre d'Edouard, fils aîné, malingre et répudié du roi des simiens préhistoriques ? Des premières images de toute beauté, qui rappellent bien évidemment le rassemblement des animaux après la naissance de Simba dans "Le Roi Lion". Sauf que dans cette savane, les girafes ont des cornes, les marsupilamis ont des allures de lapin et les mammouths n'ont rien d'une espèce éteinte. De quoi éveiller notre curiosité... Dans ce pré-teaser, on retrouve Edouard (Jamel) et Ian, ami d'Edouard (Arié Elmaleh). |
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TEASER : LE CRI MENACANT Afin de se faire respecter, Edouard décide de montrer comment être menaçant avec le cri à son meilleur ami Ian, mais... c'est loin d'être gagné ! |
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TEASER : LA FAMILLE Lucy est en pleine découverte de la famille d'Edouard et aussi de son habitat... |
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TEASER : LES TECHNIQUES DE CHASSE Edouard et Lucy découvrent les techniques de chasse... Pas encore tout à fait au point. |
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LA BANDE ANNONCE Après les teasers, retrouvez ici le monde des Simiens dans la première bande-annonce du premier film de Jamel ! |
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LA BANDE ANNONCE FINALE Voici la bande-annonce officielle et définitive du 1er film de Jamel. |
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LE CLIP Le clip du film fait danser toute la France, même Michel Druker ! Get up et fais ton truc, la chanson qui te reste dans la tête ! :) Toi aussi apparaît dans le clip en te rendant via ton smartphone sur Faistontruc.fr ! |
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LA PREPARATION Pour préparer le film, Jamel et l'équipe du film sont notamment allés à la rencontre des singes dans "La Vallée des Singes" à Romagne... |
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LA MUSIQUE Jamel voulait que la musique ait une part importante dans son film. C'est pourquoi il ne l'a pas négligée. Rentrez dans les coulisses de la création de la Bande-originale. |
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LE TOURNAGE Rentrez dans les coulisses du plus grand plateau MOCAP d'Europe pour les besoin du 1er film français et européen en motiion capture signé Jamel Debbouze ! |
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LA MASTERCLASS Les blogueurs cinéma ont eu leur projection privée du film et ensuite, ils ont pu échanger avec Jamel. Vivez cette masterclass en vidéo ! |
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Vous avez aimé le film "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ?? Il sera dans tous les bacs en Août 2015 ! Date de sortie définitive prochainement.
Prix de lancement des DVD, BluRay, BluRay 3D : 9.99 Euros.
Il est déjà possible pour vous de pré-commander le DVD (19.99 Euros) !
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"Pourquoi j'ai pas mangé mon père" sort en DVD mais pas que ! Il est aussi disponible en Blu-ray (24.99 Euros) et en Blu-ray 3D (29.99 Euros) !
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Voici la tournée des cinémas pour des avant-premières avec Jamel de son film "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" !
MARS 2015
- Mercredi 18 à 16h45 : Gaumont, Valenciennes
- Mercredi 18 à 18h00 : Pathé, Liévin
- Mercredi 18 à 18h45 : UGC Ciné Cité, Villeneuve d'Ascq
- Mercredi 18 à 20h00 : Kinepolis, Lomme
- Mercredi 18 à 20h30 : UGC Ciné Cité, Lille
- Jeudi 19 à 17h30 : Trèfle, Dorlisheim
- Jeudi 19 à 19h00 : Pathé, Brumath
- Jeudi 19 à 20h00 : Vox, Strasbourg
- Jeudi 19 à 20h45 : UGC, Strasbourg
- Vendredi 20 à 19h15 : UGC Brouckère, Bruxelles (BELGIQUE) + Mélissa Theuriau
- Jeudi 26 à 18h30 : Méga CGR, Brignais
- Jeudi 26 à 19h30 : Pathé Carré de Soie, Vaulx en Velin
- Jeudi 26 à 20h15 : Pathé, Vaise
- Jeudi 26 à 20h45 : Pathé Bellecour, Lyon
- Vendredi 27 à 19h30 : Pathé, Plan de Campagne
- Vendredi 27 à 19h45 : 3 Palmes, Marseille
- Dimanche 29 à 15h00 : Pathé Beaugrenelle, Paris (AVP OFFICIELLE) + Equipe complète
- Lundi 30 à 19h15 : Pathé Flon, Lausanne (SUISSE)
- Lundi 30 à 20h00 : Pathé Balexert, Genève (SUISSE)
- Mardi 31 à 20h30 : Pathé Atlantis, Saint Herblain
- Mardi 31 à 21h00 : Gaumont, Nantes
- Lundi 6 à 21h00 : EuropaCorp Aéroville, Roissy-en-France
AVRIL 2015
- Vendredi 3 à 19h00 : Méga CGR, Blagnac
- Vendredi 3 à 20h00 : Gaumont, Labège
- Vendredi 3 à 20h30 : Gaumont Wilson, Toulouse
- Samedi 4 à 18h45 : Mérignac Ciné, Mérignac
- Samedi 4 à 20h15 : Gaumont, Talence
- Samedi 4 à 20h30 : Mégarama, Bordeaux
- Samedi 4 à 21h00 : Méga CGR, Villenave d'Ornon
Les AVP de "Pourquoi j'ai pas" qui auront lieu le dimanche 5 avril en France seront sans la présence ni de Jamel ni de l'équipe du film. Voici les dates de ces AVP :
- Mercredi 1 à 17h00 : Le Paris, Caudebec-en-Caux
- Dimanche 5 à 10h30 : Gaumont Opéra (Côté Capucines), Paris 9
- Dimanche 5 à 10h30 : Cinespace, Beauvais
- Dimanche 5 à 10h30 : Le Scénario, Saint-Priest
- Dimanche 5 à 10h30 : Ciné Select, Antony
- Dimanche 5 à 10h30 : Le Magestic, Compiègne
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis - Le Château du Cinéma, Lomme
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Thionville
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Saint-Julien-Lès-Metz
- Dimanche 5 à 10h45 : Kinepolis Forum Centre Ville, Nîmes
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis Multiplexe, Nîmes
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Mulhouse
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Nancy
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Carcasonne Pont Rouge Multiplexe , Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Paradiso, Yerres
- Dimanche 5 à 11h00 : ABC, Sartrouville
- Dimanche 5 à 11h00 : Etoile Lilas, Paris 20
- Dimanche 5 à 11h00 : Gaumont Champs-Elysées - Marignan, Paris 8
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémovida Le Clovis, Soissons
- Dimanche 5 à 11h00 : Pathé Dammarie, Dammaries-Les-Lys
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Palace, Saumur
- Dimanche 5 à 11h00 : Utopolis, Longwy
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Multiplexe, Moulins
- Dimanche 5 à 11h00 : Ciné Cap Vert, Quetigny
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Ciné Pôle Sud, Basse-Goulaine
- Dimanche 5 à 11h00 : Vers le Large, Dinan
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Beaune, Beaune
- Dimanche 5 à 11h00 : Méga CGR, Cherbourg-Octeville
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Grand Palais, Roanne
- Dimanche 5 à 11h00 : Megarama Atmos, Lons-le-Saunier
- Dimanche 5 à 11h00 : L'Amphi, Bourg-en-Bresse
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéville Parc Lann, Vannes
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Rivoli, Carpentras
- Dimanche 5 à 11h00 : Capitole Studios Avignon, Le Pontet
- Dimanche 5 à 11h00 : Pathé Avignon Cap Sud, Avignon
- Dimanche 5 à 11h00 : Véo Muret, Muret
- Dimanche 5 à 11h00 : Monciné, Béziers
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Travelling, Agde
- Dimanche 5 à 11h00 : Les Arcades, Salon-de-Provence
- Dimanche 5 à 11h00 : Monciné, Anglet
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Select, Saint-Jean-de-Luz
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Espace Centre, Cagnes-sur-Mer
- Dimanche 5 à 11h00 : Les Lumières, Vitrolles
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Variétés, Nice
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Casino, Antibes
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémas Lido, Saint-Raphaël
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémas Pagnol Carré Léon Gaumont, Sainte-Maxime
- Dimanche 5 à 11h15 : Cinéma Dôme, Aubière
- Dimanche 5 à 11h15 : Cinémachecoul, Machecoul
- Dimanche 5 à 11h15 : Méga Castillet, Perpignan
- Dimanche 5 à 11h15 : Duplexe Cinémas, Roubaix
- Dimanche 5 à 13h25 : Cinéma Voltaire, Ferney-Voltaire
- Dimanche 5 à 13h30 : Gaumont Aquaboulevard, Paris 15
- Dimanche 5 à 13h30 : CGR Le Colisée, Le Mans
- Dimanche 5 à 13h30 : CGR Dragon, La Rochelle
- Dimanche 5 à 13h30 : Pathé Toulon Grand Ciel, La Garde
- Dimanche 5 à 13h30 : Le Palace, Mulhouse
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR Centre, Tours
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Saint-Saturnin
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Buxerolles
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Tarbes
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Fontaine le Comte
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga Kine, Freyming-Merlebach
- Dimanche 5 à 13h45 : Star, Cannes
- Dimanche 5 à 13h45 : Gaumont, Rennes
- Dimanche 5 à 13h45 : Ciné Vendôme, Vendôme
- Dimanche 5 à 13h50 : C2L, Poissy
- Dimanche 5 à 13h50 : Gaumont Multiplexe, Nantes
- Dimanche 5 à 13h50 : C2L, Saint Germain en Laye
- Dimanche 5 à 13h55 : Etoile Palace, Vichy
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, La Mézière
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Wepler Atmos, Paris 18
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Mistral, Paris 14
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Boulogne, Boulogne-Billancourt
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Epinay-sur-Seine
- Dimanche 5 à 14h00 : Cyrano, Versailles
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinepal' Le Cinéma, Palaiseau
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé, Conflans - Saint Honorine
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Evry 2, Evry
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Disney Village IMAX, Chessy
- Dimanche 5 à 14h00 : Magestic, Meaux
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Mantes-la-Jolie
- Dimanche 5 à 14h00 : Hémisphère Théâter, Coulommiers
- Dimanche 5 à 14h00 : Les Toiles, Crépy-en-Valois
- Dimanche 5 à 14h00 : Les Clubs, Villers-Cotterêts
- Dimanche 5 à 14h00 : Rexy, Provins
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéma Paradisio, Noyon
- Dimanche 5 à 14h00 : L'Ambiance, Senonches
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont, Reims
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR CinéMagestic, Châlons-en-Champagne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Ciné Casino, Auxerre
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Bruay, Bruay-la-Buissière
- Dimanche 5 à 14h00 : Cin'Amand, Saint-Amand-les-Eaux
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Bourges
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Laval
- Dimanche 5 à 14h00 : Concorde, Pont-à-Mousson
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Morvan, Le Creusot
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Le Castille, Poitiers
- Dimanche 5 à 14h00 : Les 5 Nef, Chalon-sur-Saône
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville Colombier, Rennes
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinémovida, Cholet
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinés Palace, Epinal
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Le Paris, Clermont-Ferrand
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Niort
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinésar, Sarrebourg
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Cubic, Saverne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Colmar
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Saint Nazaire
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Land, Trégueux
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinélac, Ploërmel
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, La Rochelle
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Bellecour, Lyon 2
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Vaise, Lyon 9
- Dimanche 5 à 14h00 : Palace Lumière, Altkirch
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Club, Challans
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Brignais
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Galaxy, Cognac
- Dimanche 5 à 14h00 : Atlantic Ciné, Saintes
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Brive-la-Gaillarde
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné, Meyzieu
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Lattes
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Comédie, Montpellier
- Dimanche 5 à 14h00 : Olympia, L'Isle-Jourdain
- Dimanche 5 à 14h00 : Rex, Châteaurenard
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Léman, Thonon-les-Bains
- Dimanche 5 à 14h00 : EcoCiné Verdon, Gréoux-les-Bains
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé, Plan de Campagne
- Dimanche 5 à 14h00 : Multiplexe Le Palace, Martigues
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Narbonne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Villeneuve-lès-Béziers
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Chabran, Draguignan
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Bayonne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Tarnos
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Saint-Louis, Pau
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Pau
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Massena, Nice
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Lingostière, Nice
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Rivesaltes
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Docks Vauban, Le Havre
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Hénin Beaumont
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéma Le Rex, Veules-les-Roses
- Dimanche 5 à 14h10 : Le Grand Palace, Les Sables d'Olonne
- Dimanche 5 à 14h10 : Cinéma Le Coluche, Istres
- Dimanche 5 à 14h10 : Gaumont Rouen IMAX, Le Grand Quevilly
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Cézanne, Aix en Provence
- Dimanche 5 à 14h15 : Ciné Toile, Ballancourt-sur-Essonne
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Grand Forum, Louviers
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinémas Grand Mercure, Elbeuf
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinéma Le Grand Large, Fécamp
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Prado, Marseille 6
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Cézanne, Aix-en-Provence
- Dimanche 5 à 14h15 : Ciné Presqu'île, Guérande
- Dimanche 5 à 14h15 : Royal, Saint Max
- Dimanche 5 à 14h15 : Gaumont Multiplexe, Amnéville
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinéma 7ème Art, Furiani
- Dimanche 5 à 14h20 : Cinéma Théâtre, Château-Thierry
- Dimanche 5 à 14h20 : Les Tourelles, Vouziers
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Arcel, Corbeil-Essonnes
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Théâtre, Vernon
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Palace, Romorantin-Lanthenay
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Palace, Les Andelys
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinémas Arcs-en-Ciel, Hazebrouck
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Drakkar, Yvetot
- Dimanche 5 à 14h30 : L'Aiglon, L'Aigle
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Connetable, Clisson
- Dimanche 5 à 14h30 : Atlantic Ciné, Châteaubriant
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinémavia - Val de Gray, Gray
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Loft, Châtellerault
- Dimanche 5 à 14h30 : Les 4 Vikings, Flers
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Florival, Guebwiller
- Dimanche 5 à 14h30 : Modern, Issoire
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Cinémas, Luçon
- Dimanche 5 à 14h30 : Empire, Saint-Dié-des-Vosges
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Meliès, Lure
- Dimanche 5 à 14h30 : Foyer Cinéma, Saint Symphorien-sur-Coise
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Gérard Philipe, Vénissieux
- Dimanche 5 à 14h30 : Athénée, Lunel
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Cinéma, Douvaine
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Castelia, Castelginest
- Dimanche 5 à 14h30 : Les 3 Stars, Porticcio
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Casino, Vence
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Rex, Foix
- Dimanche 5 à 14h30 : Ciné-Get, Revel
- Dimanche 5 à 14h30 : Les Toiles du Rex, Pamiers
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Caméo, Avesnes-sur-Helpe
- Dimanche 5 à 15h00 : Ciné en Pévèle (Olympia et Modern), Templeuve
- Dimanche 5 à 15h00 : Gaumont, Amiens
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé, Saran
- Dimanche 5 à 15h00 : Gaumont Carré Sénart, Lieusaint
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Atmosphère, Oyonnax
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Jacques Perrin, Tarare
- Dimanche 5 à 15h00 : Grand Ecran, Les Herbiers
- Dimanche 5 à 15h00 : La Vauban, Saint-Malo
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Sénéchal, Guéret
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Pixel, Orthez
- Dimanche 5 à 15h00 : La Halle aux Grains, Castelnaudary
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Apollo, Mazamet
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Palace, Tulle
- Dimanche 5 à 15h00 : Les Variétés, Bellegarde-sur-Valserine
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé Liberté, Toulon
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé Madeleine, Marseille 4
- Dimanche 5 à 15h15 : Pathé Multiplexe Carré de Soie IMAX, Vaulx-en-Velin
- Dimanche 5 à 15h15 : Europacorp Cinémas Atmos, Roissy-en-France
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Parnasse, Paris 14
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé, Evreux
- Dimanche 5 à 15h30 : La Rotonde, Etampes
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé, Montataire
- Dimanche 5 à 15h30 : UGC Ciné Cité Cergy, Cergy-le-Haut
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé Quai d'Ivry IMAX, Ivry-sur-Seine
- Dimanche 5 à 15h30 : Studio 7, Auzielle
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont, Coquelles
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé Les Rives de l'Orne, Caen
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Reims Parc Millesime, Thillois
- Dimanche 5 à 15h30 : Le Vauban, Saint Jean Pied de Port
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Multiplexe, Angers
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Multiplexe, Montpellier
- Dimanche 5 à 15h35 : Pathé Le Mans Quinconces Atmos, Le Mans
- Dimanche 5 à 15h45 : Les Cinémas Forum, Sarreguemines
- Dimanche 5 à 15h45 : Le Strada, Mouans-Sartoux
- Dimanche 5 à 15h45 : Olympia, Cannes
- Dimanche 5 à 15h45 : Ciné Jaude, Clermont-Ferrand
- Dimanche 5 à 15h50 : Les 4 Deltas, La Varenne Saint Hilaire
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Les écrans de Tourcoing, Tourcoing
- Dimanche 5 à 16h00 : Ciné Lumières, Armentières
- Dimanche 5 à 16h00 : Gaumont, Saint-Denis
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Central, Puteaux
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Domino, Méru
- Dimanche 5 à 16h00 : Méga CGR, Rennes
- Dimanche 5 à 16h00 : Centre Culturel Le Figuier Blanc, Argenteuil
- Dimanche 5 à 16h00 : Calypso, Viry-Châtillon
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Cinq, Lagny-sur-Marne
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Belle-Epine, Thiais
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Lumière, Chauny
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Vox, Sens
- Dimanche 5 à 16h00 : Les Ecrans, Gournay-en-Bray
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Viking, Le Neubourg
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Confluences, Varennes-sur-Seine
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Docks 76, Rouen
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé, Orléans
- Dimanche 5 à 16h00 : Magestic, Douai
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Maubeuge
- Dimanche 5 à 16h00 : Les Lumières, Armentières
- Dimanche 5 à 16h00 : Rex, Saint Hilaire du Harcouët
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Fauteuil Rouge, Bressuire
- Dimanche 5 à 16h00 : Olympia, Dijon
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Dunkerque
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Saint-Omer
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Cordeliers, Lyon 2
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Arletty, Saint Quay Portrieux
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé, Brumath
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Beaux Arts, Besançon
- Dimanche 5 à 16h00 : Magestic Espace des Lumières, Vesoul
Ce planning est donné à titre d'information.
MARS 2015
- Mercredi 18 à 16h45 : Gaumont, Valenciennes
- Mercredi 18 à 18h00 : Pathé, Liévin
- Mercredi 18 à 18h45 : UGC Ciné Cité, Villeneuve d'Ascq
- Mercredi 18 à 20h00 : Kinepolis, Lomme
- Mercredi 18 à 20h30 : UGC Ciné Cité, Lille
- Jeudi 19 à 17h30 : Trèfle, Dorlisheim
- Jeudi 19 à 19h00 : Pathé, Brumath
- Jeudi 19 à 20h00 : Vox, Strasbourg
- Jeudi 19 à 20h45 : UGC, Strasbourg
- Vendredi 20 à 19h15 : UGC Brouckère, Bruxelles (BELGIQUE) + Mélissa Theuriau
- Jeudi 26 à 18h30 : Méga CGR, Brignais
- Jeudi 26 à 19h30 : Pathé Carré de Soie, Vaulx en Velin
- Jeudi 26 à 20h15 : Pathé, Vaise
- Jeudi 26 à 20h45 : Pathé Bellecour, Lyon
- Vendredi 27 à 19h30 : Pathé, Plan de Campagne
- Vendredi 27 à 19h45 : 3 Palmes, Marseille
- Dimanche 29 à 15h00 : Pathé Beaugrenelle, Paris (AVP OFFICIELLE) + Equipe complète
- Lundi 30 à 19h15 : Pathé Flon, Lausanne (SUISSE)
- Lundi 30 à 20h00 : Pathé Balexert, Genève (SUISSE)
- Mardi 31 à 20h30 : Pathé Atlantis, Saint Herblain
- Mardi 31 à 21h00 : Gaumont, Nantes
- Lundi 6 à 21h00 : EuropaCorp Aéroville, Roissy-en-France
AVRIL 2015
- Vendredi 3 à 19h00 : Méga CGR, Blagnac
- Vendredi 3 à 20h00 : Gaumont, Labège
- Vendredi 3 à 20h30 : Gaumont Wilson, Toulouse
- Samedi 4 à 18h45 : Mérignac Ciné, Mérignac
- Samedi 4 à 20h15 : Gaumont, Talence
- Samedi 4 à 20h30 : Mégarama, Bordeaux
- Samedi 4 à 21h00 : Méga CGR, Villenave d'Ornon
Les AVP de "Pourquoi j'ai pas" qui auront lieu le dimanche 5 avril en France seront sans la présence ni de Jamel ni de l'équipe du film. Voici les dates de ces AVP :
- Mercredi 1 à 17h00 : Le Paris, Caudebec-en-Caux
- Dimanche 5 à 10h30 : Gaumont Opéra (Côté Capucines), Paris 9
- Dimanche 5 à 10h30 : Cinespace, Beauvais
- Dimanche 5 à 10h30 : Le Scénario, Saint-Priest
- Dimanche 5 à 10h30 : Ciné Select, Antony
- Dimanche 5 à 10h30 : Le Magestic, Compiègne
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis - Le Château du Cinéma, Lomme
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Thionville
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Saint-Julien-Lès-Metz
- Dimanche 5 à 10h45 : Kinepolis Forum Centre Ville, Nîmes
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis Multiplexe, Nîmes
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Mulhouse
- Dimanche 5 à 10h45 + 11h00 : Kinepolis, Nancy
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Carcasonne Pont Rouge Multiplexe , Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Paradiso, Yerres
- Dimanche 5 à 11h00 : ABC, Sartrouville
- Dimanche 5 à 11h00 : Etoile Lilas, Paris 20
- Dimanche 5 à 11h00 : Gaumont Champs-Elysées - Marignan, Paris 8
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémovida Le Clovis, Soissons
- Dimanche 5 à 11h00 : Pathé Dammarie, Dammaries-Les-Lys
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Palace, Saumur
- Dimanche 5 à 11h00 : Utopolis, Longwy
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Multiplexe, Moulins
- Dimanche 5 à 11h00 : Ciné Cap Vert, Quetigny
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Ciné Pôle Sud, Basse-Goulaine
- Dimanche 5 à 11h00 : Vers le Large, Dinan
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma Beaune, Beaune
- Dimanche 5 à 11h00 : Méga CGR, Cherbourg-Octeville
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Grand Palais, Roanne
- Dimanche 5 à 11h00 : Megarama Atmos, Lons-le-Saunier
- Dimanche 5 à 11h00 : L'Amphi, Bourg-en-Bresse
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéville Parc Lann, Vannes
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Rivoli, Carpentras
- Dimanche 5 à 11h00 : Capitole Studios Avignon, Le Pontet
- Dimanche 5 à 11h00 : Pathé Avignon Cap Sud, Avignon
- Dimanche 5 à 11h00 : Véo Muret, Muret
- Dimanche 5 à 11h00 : Monciné, Béziers
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Travelling, Agde
- Dimanche 5 à 11h00 : Les Arcades, Salon-de-Provence
- Dimanche 5 à 11h00 : Monciné, Anglet
- Dimanche 5 à 11h00 : Le Select, Saint-Jean-de-Luz
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Espace Centre, Cagnes-sur-Mer
- Dimanche 5 à 11h00 : Les Lumières, Vitrolles
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Variétés, Nice
- Dimanche 5 à 11h00 : Cap Cinéma, Carcassonne
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinéma Casino, Antibes
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémas Lido, Saint-Raphaël
- Dimanche 5 à 11h00 : Cinémas Pagnol Carré Léon Gaumont, Sainte-Maxime
- Dimanche 5 à 11h15 : Cinéma Dôme, Aubière
- Dimanche 5 à 11h15 : Cinémachecoul, Machecoul
- Dimanche 5 à 11h15 : Méga Castillet, Perpignan
- Dimanche 5 à 11h15 : Duplexe Cinémas, Roubaix
- Dimanche 5 à 13h25 : Cinéma Voltaire, Ferney-Voltaire
- Dimanche 5 à 13h30 : Gaumont Aquaboulevard, Paris 15
- Dimanche 5 à 13h30 : CGR Le Colisée, Le Mans
- Dimanche 5 à 13h30 : CGR Dragon, La Rochelle
- Dimanche 5 à 13h30 : Pathé Toulon Grand Ciel, La Garde
- Dimanche 5 à 13h30 : Le Palace, Mulhouse
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR Centre, Tours
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Saint-Saturnin
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Buxerolles
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Tarbes
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga CGR, Fontaine le Comte
- Dimanche 5 à 13h45 : Méga Kine, Freyming-Merlebach
- Dimanche 5 à 13h45 : Star, Cannes
- Dimanche 5 à 13h45 : Gaumont, Rennes
- Dimanche 5 à 13h45 : Ciné Vendôme, Vendôme
- Dimanche 5 à 13h50 : C2L, Poissy
- Dimanche 5 à 13h50 : Gaumont Multiplexe, Nantes
- Dimanche 5 à 13h50 : C2L, Saint Germain en Laye
- Dimanche 5 à 13h55 : Etoile Palace, Vichy
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, La Mézière
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Wepler Atmos, Paris 18
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Mistral, Paris 14
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Boulogne, Boulogne-Billancourt
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Epinay-sur-Seine
- Dimanche 5 à 14h00 : Cyrano, Versailles
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinepal' Le Cinéma, Palaiseau
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé, Conflans - Saint Honorine
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Evry 2, Evry
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Disney Village IMAX, Chessy
- Dimanche 5 à 14h00 : Magestic, Meaux
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Mantes-la-Jolie
- Dimanche 5 à 14h00 : Hémisphère Théâter, Coulommiers
- Dimanche 5 à 14h00 : Les Toiles, Crépy-en-Valois
- Dimanche 5 à 14h00 : Les Clubs, Villers-Cotterêts
- Dimanche 5 à 14h00 : Rexy, Provins
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéma Paradisio, Noyon
- Dimanche 5 à 14h00 : L'Ambiance, Senonches
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont, Reims
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR CinéMagestic, Châlons-en-Champagne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Ciné Casino, Auxerre
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Bruay, Bruay-la-Buissière
- Dimanche 5 à 14h00 : Cin'Amand, Saint-Amand-les-Eaux
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Bourges
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Laval
- Dimanche 5 à 14h00 : Concorde, Pont-à-Mousson
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Morvan, Le Creusot
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR Le Castille, Poitiers
- Dimanche 5 à 14h00 : Les 5 Nef, Chalon-sur-Saône
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville Colombier, Rennes
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinémovida, Cholet
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinés Palace, Epinal
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Le Paris, Clermont-Ferrand
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Niort
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinésar, Sarrebourg
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Cubic, Saverne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Colmar
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Saint Nazaire
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Land, Trégueux
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinélac, Ploërmel
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, La Rochelle
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Bellecour, Lyon 2
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Vaise, Lyon 9
- Dimanche 5 à 14h00 : Palace Lumière, Altkirch
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Club, Challans
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Brignais
- Dimanche 5 à 14h00 : Le Galaxy, Cognac
- Dimanche 5 à 14h00 : Atlantic Ciné, Saintes
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Brive-la-Gaillarde
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné, Meyzieu
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Lattes
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Comédie, Montpellier
- Dimanche 5 à 14h00 : Olympia, L'Isle-Jourdain
- Dimanche 5 à 14h00 : Rex, Châteaurenard
- Dimanche 5 à 14h00 : Ciné Léman, Thonon-les-Bains
- Dimanche 5 à 14h00 : EcoCiné Verdon, Gréoux-les-Bains
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé, Plan de Campagne
- Dimanche 5 à 14h00 : Multiplexe Le Palace, Martigues
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Narbonne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Villeneuve-lès-Béziers
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Chabran, Draguignan
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Bayonne
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Tarnos
- Dimanche 5 à 14h00 : CGR Saint-Louis, Pau
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Pau
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Massena, Nice
- Dimanche 5 à 14h00 : Pathé Lingostière, Nice
- Dimanche 5 à 14h00 : Méga CGR, Rivesaltes
- Dimanche 5 à 14h00 : Gaumont Docks Vauban, Le Havre
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéville, Hénin Beaumont
- Dimanche 5 à 14h00 : Cinéma Le Rex, Veules-les-Roses
- Dimanche 5 à 14h10 : Le Grand Palace, Les Sables d'Olonne
- Dimanche 5 à 14h10 : Cinéma Le Coluche, Istres
- Dimanche 5 à 14h10 : Gaumont Rouen IMAX, Le Grand Quevilly
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Cézanne, Aix en Provence
- Dimanche 5 à 14h15 : Ciné Toile, Ballancourt-sur-Essonne
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Grand Forum, Louviers
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinémas Grand Mercure, Elbeuf
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinéma Le Grand Large, Fécamp
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Prado, Marseille 6
- Dimanche 5 à 14h15 : Le Cézanne, Aix-en-Provence
- Dimanche 5 à 14h15 : Ciné Presqu'île, Guérande
- Dimanche 5 à 14h15 : Royal, Saint Max
- Dimanche 5 à 14h15 : Gaumont Multiplexe, Amnéville
- Dimanche 5 à 14h15 : Cinéma 7ème Art, Furiani
- Dimanche 5 à 14h20 : Cinéma Théâtre, Château-Thierry
- Dimanche 5 à 14h20 : Les Tourelles, Vouziers
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Arcel, Corbeil-Essonnes
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Théâtre, Vernon
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Palace, Romorantin-Lanthenay
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Palace, Les Andelys
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinémas Arcs-en-Ciel, Hazebrouck
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Drakkar, Yvetot
- Dimanche 5 à 14h30 : L'Aiglon, L'Aigle
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Connetable, Clisson
- Dimanche 5 à 14h30 : Atlantic Ciné, Châteaubriant
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinémavia - Val de Gray, Gray
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Loft, Châtellerault
- Dimanche 5 à 14h30 : Les 4 Vikings, Flers
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Florival, Guebwiller
- Dimanche 5 à 14h30 : Modern, Issoire
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Cinémas, Luçon
- Dimanche 5 à 14h30 : Empire, Saint-Dié-des-Vosges
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Meliès, Lure
- Dimanche 5 à 14h30 : Foyer Cinéma, Saint Symphorien-sur-Coise
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Gérard Philipe, Vénissieux
- Dimanche 5 à 14h30 : Athénée, Lunel
- Dimanche 5 à 14h30 : Espace Cinéma, Douvaine
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Castelia, Castelginest
- Dimanche 5 à 14h30 : Les 3 Stars, Porticcio
- Dimanche 5 à 14h30 : Cinéma Casino, Vence
- Dimanche 5 à 14h30 : Le Rex, Foix
- Dimanche 5 à 14h30 : Ciné-Get, Revel
- Dimanche 5 à 14h30 : Les Toiles du Rex, Pamiers
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Caméo, Avesnes-sur-Helpe
- Dimanche 5 à 15h00 : Ciné en Pévèle (Olympia et Modern), Templeuve
- Dimanche 5 à 15h00 : Gaumont, Amiens
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé, Saran
- Dimanche 5 à 15h00 : Gaumont Carré Sénart, Lieusaint
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Atmosphère, Oyonnax
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Jacques Perrin, Tarare
- Dimanche 5 à 15h00 : Grand Ecran, Les Herbiers
- Dimanche 5 à 15h00 : La Vauban, Saint-Malo
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Sénéchal, Guéret
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Pixel, Orthez
- Dimanche 5 à 15h00 : La Halle aux Grains, Castelnaudary
- Dimanche 5 à 15h00 : Cinéma Apollo, Mazamet
- Dimanche 5 à 15h00 : Le Palace, Tulle
- Dimanche 5 à 15h00 : Les Variétés, Bellegarde-sur-Valserine
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé Liberté, Toulon
- Dimanche 5 à 15h00 : Pathé Madeleine, Marseille 4
- Dimanche 5 à 15h15 : Pathé Multiplexe Carré de Soie IMAX, Vaulx-en-Velin
- Dimanche 5 à 15h15 : Europacorp Cinémas Atmos, Roissy-en-France
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Parnasse, Paris 14
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé, Evreux
- Dimanche 5 à 15h30 : La Rotonde, Etampes
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé, Montataire
- Dimanche 5 à 15h30 : UGC Ciné Cité Cergy, Cergy-le-Haut
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé Quai d'Ivry IMAX, Ivry-sur-Seine
- Dimanche 5 à 15h30 : Studio 7, Auzielle
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont, Coquelles
- Dimanche 5 à 15h30 : Pathé Les Rives de l'Orne, Caen
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Reims Parc Millesime, Thillois
- Dimanche 5 à 15h30 : Le Vauban, Saint Jean Pied de Port
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Multiplexe, Angers
- Dimanche 5 à 15h30 : Gaumont Multiplexe, Montpellier
- Dimanche 5 à 15h35 : Pathé Le Mans Quinconces Atmos, Le Mans
- Dimanche 5 à 15h45 : Les Cinémas Forum, Sarreguemines
- Dimanche 5 à 15h45 : Le Strada, Mouans-Sartoux
- Dimanche 5 à 15h45 : Olympia, Cannes
- Dimanche 5 à 15h45 : Ciné Jaude, Clermont-Ferrand
- Dimanche 5 à 15h50 : Les 4 Deltas, La Varenne Saint Hilaire
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Les écrans de Tourcoing, Tourcoing
- Dimanche 5 à 16h00 : Ciné Lumières, Armentières
- Dimanche 5 à 16h00 : Gaumont, Saint-Denis
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Central, Puteaux
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Domino, Méru
- Dimanche 5 à 16h00 : Méga CGR, Rennes
- Dimanche 5 à 16h00 : Centre Culturel Le Figuier Blanc, Argenteuil
- Dimanche 5 à 16h00 : Calypso, Viry-Châtillon
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Cinq, Lagny-sur-Marne
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Belle-Epine, Thiais
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Lumière, Chauny
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Vox, Sens
- Dimanche 5 à 16h00 : Les Ecrans, Gournay-en-Bray
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Viking, Le Neubourg
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Confluences, Varennes-sur-Seine
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Docks 76, Rouen
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé, Orléans
- Dimanche 5 à 16h00 : Magestic, Douai
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Maubeuge
- Dimanche 5 à 16h00 : Les Lumières, Armentières
- Dimanche 5 à 16h00 : Rex, Saint Hilaire du Harcouët
- Dimanche 5 à 16h00 : Le Fauteuil Rouge, Bressuire
- Dimanche 5 à 16h00 : Olympia, Dijon
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Dunkerque
- Dimanche 5 à 16h00 : Ociné, Saint-Omer
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Cordeliers, Lyon 2
- Dimanche 5 à 16h00 : Cinéma Arletty, Saint Quay Portrieux
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé, Brumath
- Dimanche 5 à 16h00 : Pathé Beaux Arts, Besançon
- Dimanche 5 à 16h00 : Magestic Espace des Lumières, Vesoul
Ce planning est donné à titre d'information.
JEU-CONCOURS 2
On vous avait déjà proposé un jeu-concours pour assister à l'Avant-première officielle. Cette fois, on vous en a proposé un autre qui vous a permis de gagner des DVD du film !
Nombre de DVD à gagner : 5
Les réponses au jeu-concours :
Question 1 : Qui a réalisé ce film ?
A - Jamel Debbouze
B - Mélissa Theuriau
C - Arié Elmaleh
Question 2 : Vladimir reprend les mimiques d'un acteur connu. De qui s'agit-il ?
A - Gérard Depardieu
B - Ramzy Bédia
C - Louis de Funès
Question 3 : Comment s'appelle le frère jumeau d'Edouard, futur Roi des Simiens ?
A - Ian
B - Vladimir
C - Vania
Les gagnants des 5 DVD mis en jeu dans ce jeu-concours sont :
- Abdel K.
- Elodie B.
- Jérémy G.
- Anaïs F.
- Aurélie L. M.
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JEU-CONCOURS 1
Les gagnants de l'un des 5 packs de 2 places pour l'AVP officielle de "Pourquoi j'ai pas" le dimanche 29 mars à 15h en présence de toute l'équipe du film sont :
- Ibrahim H.
- Sylvie M.
- Julie S.
- Zelda B.
- Mehdi R.
Les gagnants seront contactés directement par Pathé Films et par mail. Attention, entrée à l'AVP uniquement avec les invitations.
Voici les réponses au jeu-concours :
Question 1 : Qui incarne Lucy ?
A - Florence Foresti
B - Mélissa Theuriau
C - Nawell Madani
Question 2 : Qui ne fait pas partie du casting de ce film ?
A - Arié Elmaleh
B - Louis de Funès
C - Gad Elmaleh
Question 3 : Comment s'appelle l'oiseau unique qui aurait vécu des milliers d'années ?
A - Mâchoire
B - Kif Kif
C - Edouard
On vous avait déjà proposé un jeu-concours pour assister à l'Avant-première officielle. Cette fois, on vous en a proposé un autre qui vous a permis de gagner des DVD du film !
Nombre de DVD à gagner : 5
Les réponses au jeu-concours :
Question 1 : Qui a réalisé ce film ?
A - Jamel Debbouze
B - Mélissa Theuriau
C - Arié Elmaleh
Question 2 : Vladimir reprend les mimiques d'un acteur connu. De qui s'agit-il ?
A - Gérard Depardieu
B - Ramzy Bédia
C - Louis de Funès
Question 3 : Comment s'appelle le frère jumeau d'Edouard, futur Roi des Simiens ?
A - Ian
B - Vladimir
C - Vania
Les gagnants des 5 DVD mis en jeu dans ce jeu-concours sont :
- Abdel K.
- Elodie B.
- Jérémy G.
- Anaïs F.
- Aurélie L. M.
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JEU-CONCOURS 1
Les gagnants de l'un des 5 packs de 2 places pour l'AVP officielle de "Pourquoi j'ai pas" le dimanche 29 mars à 15h en présence de toute l'équipe du film sont :
- Ibrahim H.
- Sylvie M.
- Julie S.
- Zelda B.
- Mehdi R.
Les gagnants seront contactés directement par Pathé Films et par mail. Attention, entrée à l'AVP uniquement avec les invitations.
Voici les réponses au jeu-concours :
Question 1 : Qui incarne Lucy ?
A - Florence Foresti
B - Mélissa Theuriau
C - Nawell Madani
Question 2 : Qui ne fait pas partie du casting de ce film ?
A - Arié Elmaleh
B - Louis de Funès
C - Gad Elmaleh
Question 3 : Comment s'appelle l'oiseau unique qui aurait vécu des milliers d'années ?
A - Mâchoire
B - Kif Kif
C - Edouard