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Certaines
personnes s'obstinent à ne voir qu'un seul aspect de ceux que Jamel
nous renvoit. Et pourtant, assures toi qu'il n'est pas suffisant de s'arrêter
à la simple image d'un jeune beur de banlieue, qui ne serait sur
les planches ou devant les caméras que pour nous faire rire. C'est
bel et bien cette unique image que quelques-uns perçoivent. Mais
... Jamel ... ce n'est pas seulement ça. Et ce n'est ni un hasard,
ni grâce à un coup de chance qu'il a réussi à
s'imposer comme un grand humoriste et acteur français de notre
époque.
En effet, Jamel a su nous montrer qu'il n'était pas QUE comique, mais qu'il est très généreux, et attentif à ce qui se passe autour de lui, dans le but d'améliorer quelque part le quotidien des gens qui n'ont pas, comme lui, aujourd'hui, le privilège de vivre aisément. Car Jamel n'a pas oublié où et comment il vivait autrefois, avant son succès. Une phrase courte, mais juste, pourrait peut-être le qualifier : Petit de taille, mais Grand de coeur ... :-)
Cette rubrique, comme l'indique si bien son nom, consiste donc à te montrer que dans Jamel se cachent plusieurs facettes, positives (bien évidemment). Tu pourras donc le constater à travers ses propres paroles, mais aussi par des articles de journalistes, ou encore par des témoignages de son entourage, d'amis ou de proches ...
Et quand Jamel parle sérieusement ça donne ça …
• Tu peux me parler du fameux projet qui te tient à cœur ?
[...] Je voudrais avec des gens comme Dieudonné, Bacri, vous les Zebda, d'autres qui ont une image positive monter une fondation de solidarité pour défendre toutes les formes d'exclusion et de racisme notamment dans les quartiers. Comme des lieux d'accueil avec des gens chargés de recenser toutes les formes de discriminations du quotidien. Ça peut être le racisme à l'embauche, le refus des boites de nuit, les grandes surfaces, l'administration, etc. Un lieu susceptible de mettre en confiance tous ceux qui sont victimes du racisme au quotidien. Un lieu dans les quartiers difficiles qui permettrait aux jeunes d'avoir accès à de l'informatique pour une recherche de travail ou autre. Pour l'instant, j'ai pas encore l'idée précise, je tiens pas encore le fil rouge de ce projet mais je travaille dessus, en tous cas c'est l'aspect de tous les jours qui m'interpelle, je dirais presque " soyons capables de traiter le cas par cas ". Y a quand même encore aujourd'hui une justice à deux vitesses. [...] Lire l'interview... (tactikollectif.org, dans une interview de Magyd Cherfi)
• Présidentielles 2002
"Je suis français, marocain d'origine et fier de l'être. Je suis né ici, j'ai grandi ici et je vis ici. Personne ne pourra me dire le contraire. Mon grand père était tirailleur marocain. Mon père, maçon, a aidé ce pays à se re-construire. Grâce à leurs sacrifices, j'ai le droit de vote et je compte bien le conserver." (Libération, 02/05/02)
• C’est quoi votre France ?
C’est celle de la différence, c’est celle de la multiculture, de la tolérance, de l’amour, de la paix, c’est celle qui m’a amené là où je suis, c’est celle d’un pays avec des valeurs nobles auxquelles j’adhère pleinement, parce que ces valeurs m’ont rendu service. C’est un magnifique pays, la France. [...]
Quand je vous ai appelé la première fois pour témoigner, vous m’avez dit "c’est quinze ans de mon travail qui est foutu, là".
C’est ce que j’ai cru, parce que j’étais atterré, mais ce n’est pas la vérité. Évidemment, on a pris un vrai coup. Mais ce n’est pas pour autant qu’on a travaillé dans le vent, loin de là, au contraire. De plus en plus, j’ai le sentiment qu’il y a un nouvel élan. C’est bizarre à entendre, mais c’est presque une opportunité pour tout le monde, de reconstruire quelque chose de neuf. [...]
C’est un cri de colère ce soir, c’est aussi un cri de condamnation.
Oui. Plus jamais ça. Plus jamais cette terreur, il faut condamner fermement ce qu’il s’est passé. Tous ensemble, nous avons une responsabilité, et on ne peut plus faire comme si ça n’avait pas eu lieu. Ça a déstabilisé toute la France, la planète entière. Il faut être aujourd’hui dans "qu’est-ce qu’on fait maintenant", dans "demain". Pour plus que ces gamins ne se mettent à crier pendant la minute de silence, pour plus qu’on raconte n’importe quoi sur les réseaux sociaux… Ça passe par plein de choses : avoir affaire à des adultes concernés, avertis, qui les raccrochent aux valeurs de la République. Qui leur font re-aimer la France, pour les mêmes raisons que moi. J’aime la France de toutes mes forces, je la défendrai corps et âme. La France c’est ma mère, on touche pas à ma mère. Lire toute l'interview... (Interview de Jamel dans 7 à 8 du 18 janvier 2015)
• "Mon père, quand il a vu le titre du film, il a dit 'Et pourquoi pas manger ta mère ?!'"
Jamel explique à quel point son père est important pour lui et à quel point il le respecte : "Comme le personnage, je n’ai pas envie de manger mon père. C’était un hommage à mon père pratiquement ce film parce que je suis tellement respectueux et tellement conscient du sacrifice qu’ils ont fait en se déracinant de leur pays d’origine, en venant ici, en faisant tous ces sacrifices pour que nous on vive mieux. J’avais pas envie de manger mon père. Je déteste cette expression « tuer le père ». Je pense qu’on n’a pas besoin de tuer son père pour exister. Moi je n’ai pas envie de le tuer mon père, ni de le manger, j’ai envie de lui dire combien je suis respectueux du sacrifice qu’il a fait." Puis, Jamel continue son interview en parlant de sa mère : "Ma mère elle a cette particularité quand elle rit, c’est de se cacher. Elle n’aime qu’on la voit." explique-t-il ainsi avant d'ajouter "C’est vrai qu’elle m’a toujours soutenu, et toujours dans le rire. Toujours avec le rire et toujours avec l’humilité qui la caractérise. J’adore ma mère qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !" (Interview de Jamel dans l'émission "Sortez du Cadre" du 28 avril 2015)
Ils parlent de lui …
• Jamel Debbouze, nouveau tycoon de la cité impériale
S'il n'était qu'une star marocaine, ce serait incontestablement Jamel Debbouze, qui ne peut se déplacer dans Marrakech sans susciter la passion, surtout des plus jeunes. Il le répète à chacun qui l'interroge : il se plaît au Maroc où il "ne ressent que des énergies positives". Il a pu s'en assurer lors de la projection d'Astérix et Obélix : mission Cléopâtre sur un écran géant installé place Jemaa el-Fna dans la nuit du 20 septembre. Plusieurs centaines de jeunes spectateurs lui ont fait une ovation après qu'il les a assurés, en arabe et en français, de son bonheur d'être là. Le lendemain, dans les jardins d'une maison de la palmeraie transformés en décor hollywoodien, le ton était tout aussi enjoué pour annoncer la création, au premier semestre 2004, à quatorze kilomètres au sud de la ville, des Studios cinématographiques du Maroc, une initiative qu'il a prise en compagnie de deux amis, l'ancien ministre marocain du tourisme et grande figure de la communauté juive locale, Serge Berdugo, et le producteur Alex Berger. [...] Lire la suite ... (Le Monde)
• Alain Chabat dans l'année du cinéma
En même temps, l'un des grands bonheurs de votre Astérix, c'est Jamel. On sent une grande complicité entre vous …
Alain Chabat : Parler de Jamel, c'est difficile. On a l'impression de dire des banalités, alors que tout est vrai en ce qui le concerne. Il est vraiment incroyablement marrant, il sort de très bonnes blagues tout le temps ( même si ça nous arrive, mais oui ! de parler très sérieusement ), et il est extrêmement généreux. J'en parlais l'autre jour avec Kader [ Aoun, collaborateur de Chabat sur Burger Quiz et de Jamel depuis H ] . Il a par exemple la réputation légendaire de poser des lapins, mais le jour où c'est vraiment indispensable qu'il soit là, le jour où il sent juste à votre voix, juste au message que vous lui laissez, que vous avez un petite coup de mou, hop !il est là. J'adore comme il fait kiffer tout le monde. Il quitte une table pleine d'invités et quelques minutes après , un mec arrive, qui offre je ne sais quoi. Ça c'est Jamel ! On ne compte plus le nombre de petits gestes comme ça, pour rien, et de grandes fêtes … C'est, pour son entourage, le champion du monde du plaisir gratuit. J'aime sa manière de vivre pleinement et sereinement sa réussite et le blé qui va avec. " Oui, je kiffe mon succès, oui, je m'achète des costards et des voitures ; oui, je fais des teufs … "Il a une vraie rock star attitude. Je trouve limite qu'on lui demande toujours : " vous trouvez normal de gagner autant ? " Il a raison, on ne le demande pas aussi souvent aux autres acteurs. Ça finit par être suspect …[...] Lire la suite ... (Studio N° hors série 2002)
• Un enfant de Coluche
Jamel Debbouze paie de sa personne lorsqu'il s'agit d'encourager le football club de Trappes en compagnie d'un inénarrable supporter. Non content de soutenir de la voix et du geste une équipe dont la victoire sur Viry-Châtillon prend des allures de finale de Coupe du Monde, le " président " se démène pour trouver des aides, des sponsors. " Vous savez, explique-t-il à Jean-Claude Darmon, le grand manitou des droits sportifs, et à Laurent Perpère, le président du PSG, les gamins ont besoin que des gens comme vous s'intéressent à eux. C'est tout simple, il faut les aimer. "
Apparemment, il obtiendra les maillots, les aides dont il a besoin. Pour la bonne cause, son copain Anelka est venu appuyer sa démarche. En observant Jamel défendre ainsi la cause des jeunes à l'abandon, on se dit qu'outre le talent comique, Coluche a, pour ce don-là aussi, trouvé un lui un vrai héritier. [...] Lire l'article ... (Télé Ciné Obs Décembre 2002)
• Les enfants à l'honneur et le football à l'Heure marocaine
Créée en 1954, l'association de bienfaisance l'Heure Joyeuse est reconnue d'utilité publique. " Lever des fonds pour le fonctionnement d'un centre d'insertion et de formation des enfants en situation précaire est notre priorité ", explique Mohamed Sirti, administrateur du foyer. Le show sportif a pour objectif principal de promouvoir le travail de l'association par l'intermédiaire médiatique de Jamel Debbouze. " Nous tenons encore à le remercier pour toute l'aide qu'il nous a apporté ". En réunissant tous ces joueurs, Jamel Debbouze a réussi à donner une dimension internationale à cet événement. Le Maroc sera le centre footballistique du monde pendant une journée. Les joueurs n'ont pas hésité à prendre sur leur temps libre pour accompagner Jamel. [...] Connu pour son engagement au Maroc, Jamel Debbouze œuvre, à sa manière, à l'essor du pays. Prenant ses responsabilités au sérieux, l'humoriste a pu convaincre les footballeurs de le soutenir dans sa démarche. [...] Lire l'article ... (www.afrik.com)
• Jamel Debbouze : 150 000 euros au profit de l'Heure Joyeuse
Jamel a un cœur énorme et l'idée était de voir comment il pouvait rendre service dans son pays. Il fallait collecter des fonds de façon rapide et importante. La solution a été de le faire à travers des produits qu'on allait développer à l'effigie de Jamel, dessinés et validés par lui. Le projet a été monté en six mois environ et en quinze jours, on a pu vendre les 10.000 paires Reebok Jamel conçues pour cette opération. 100% des bénéfices enregistrés sur cette opération ont été versés à l'association l'Heure joyeuse. J'espère reproduire la même action avec d'autres associations et d'autres personnes qui voudront aider. Car en multipliant les efforts, beaucoup de choses pourront être réalisées et tant mieux si c'est bénéfique pour les enfants. (Stéphane Grimault)
Je suis très contente aujourd'hui, car la société civile fait de grands pas en avant. Donner le sourire à un enfant est une chose magnifique. L'initiative de Jamel est excellente. De telles occasions nous montre que dans notre pays, des gens cherchent à obtenir de bons résultats qui nous feront rejoindre la cour des grands et qui assureront aux futurs générations, un lendemain meilleur. A partir d'une simple idée, plusieurs projets pourront voir le jour. Mise à part ce succès, un autre exploit a été enregistré à savoir la validation de la société mère aux Etats Unis, du mot espoir inscrit en arabe sur les chaussures de sport. (Naima Lamcharqui) Lire l'article ... (Yabiladi.com)
• Mélissa Theuriau : "Jamel Debbouze a douté énormément. Et ça m'a beaucoup touchée"
Mélissa s'est confié sur le Jamel qu'elle a (re)découvert en tournage : "J'ai découvert davantage le doute qui l'habite. Même si j'en étais consciente avant, ça m'a touchée. Et parfois ça m'a effrayée pour lui. Parce que dans un projet de si longue haleine, on passe par beaucoup d'étapes, et même si le film parle de confiance en soi, il a douté énormément". Mais ce n'est pas tout. "J'ai aussi été touchée de le voir naître en tant que metteur en scène et réalisateur. Il a été incroyable avec nous. Il a été respectueux et bienveillant avec chacun. Il a valorisé chacun d'entre nous même quand il n'obtenait pas ce qu'il voulait. Il a su aller chercher autrement ce qu'il fallait pour nous diriger. Et ça c'est preuve d'une grande intelligence. Je le savais, mais d'y assister là, ça a été très émouvant". [...] (Interview de Mélissa Theuriau pour Pure Break, le 31 mars 2015)
• Cette faculté d’intégrer l’Art de l’improvisation jamélienne au Trivium de Cassiodore a enthousiasmé Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l'Education, qui voit elle aussi en Jamel Debbouze une sorte de nouveau philosophe de l’époque.
"L’improvisation théâtrale est une activité extrêmement intéressante y compris d’ailleurs pour mieux maitriser la langue française. Jamel est quelqu'un pour qui j'ai beaucoup d'admiration […]. De ce fait, il peut avoir une parole auprès des jeunes qui porte, parce que c'est quelqu'un de très engagé qui ne s'en est jamais simplement tenu à son rôle d'humoriste mais qui est capable d'avoir une parole forte sur des sujets de société[…]. L'improvisation est une façon d'apprendre à vivre ensemble". (Najat Vallaud-Belkacem, Avril 2015)
En effet, Jamel a su nous montrer qu'il n'était pas QUE comique, mais qu'il est très généreux, et attentif à ce qui se passe autour de lui, dans le but d'améliorer quelque part le quotidien des gens qui n'ont pas, comme lui, aujourd'hui, le privilège de vivre aisément. Car Jamel n'a pas oublié où et comment il vivait autrefois, avant son succès. Une phrase courte, mais juste, pourrait peut-être le qualifier : Petit de taille, mais Grand de coeur ... :-)
Cette rubrique, comme l'indique si bien son nom, consiste donc à te montrer que dans Jamel se cachent plusieurs facettes, positives (bien évidemment). Tu pourras donc le constater à travers ses propres paroles, mais aussi par des articles de journalistes, ou encore par des témoignages de son entourage, d'amis ou de proches ...
Et quand Jamel parle sérieusement ça donne ça …
• Tu peux me parler du fameux projet qui te tient à cœur ?
[...] Je voudrais avec des gens comme Dieudonné, Bacri, vous les Zebda, d'autres qui ont une image positive monter une fondation de solidarité pour défendre toutes les formes d'exclusion et de racisme notamment dans les quartiers. Comme des lieux d'accueil avec des gens chargés de recenser toutes les formes de discriminations du quotidien. Ça peut être le racisme à l'embauche, le refus des boites de nuit, les grandes surfaces, l'administration, etc. Un lieu susceptible de mettre en confiance tous ceux qui sont victimes du racisme au quotidien. Un lieu dans les quartiers difficiles qui permettrait aux jeunes d'avoir accès à de l'informatique pour une recherche de travail ou autre. Pour l'instant, j'ai pas encore l'idée précise, je tiens pas encore le fil rouge de ce projet mais je travaille dessus, en tous cas c'est l'aspect de tous les jours qui m'interpelle, je dirais presque " soyons capables de traiter le cas par cas ". Y a quand même encore aujourd'hui une justice à deux vitesses. [...] Lire l'interview... (tactikollectif.org, dans une interview de Magyd Cherfi)
• Présidentielles 2002
"Je suis français, marocain d'origine et fier de l'être. Je suis né ici, j'ai grandi ici et je vis ici. Personne ne pourra me dire le contraire. Mon grand père était tirailleur marocain. Mon père, maçon, a aidé ce pays à se re-construire. Grâce à leurs sacrifices, j'ai le droit de vote et je compte bien le conserver." (Libération, 02/05/02)
• C’est quoi votre France ?
C’est celle de la différence, c’est celle de la multiculture, de la tolérance, de l’amour, de la paix, c’est celle qui m’a amené là où je suis, c’est celle d’un pays avec des valeurs nobles auxquelles j’adhère pleinement, parce que ces valeurs m’ont rendu service. C’est un magnifique pays, la France. [...]
Quand je vous ai appelé la première fois pour témoigner, vous m’avez dit "c’est quinze ans de mon travail qui est foutu, là".
C’est ce que j’ai cru, parce que j’étais atterré, mais ce n’est pas la vérité. Évidemment, on a pris un vrai coup. Mais ce n’est pas pour autant qu’on a travaillé dans le vent, loin de là, au contraire. De plus en plus, j’ai le sentiment qu’il y a un nouvel élan. C’est bizarre à entendre, mais c’est presque une opportunité pour tout le monde, de reconstruire quelque chose de neuf. [...]
C’est un cri de colère ce soir, c’est aussi un cri de condamnation.
Oui. Plus jamais ça. Plus jamais cette terreur, il faut condamner fermement ce qu’il s’est passé. Tous ensemble, nous avons une responsabilité, et on ne peut plus faire comme si ça n’avait pas eu lieu. Ça a déstabilisé toute la France, la planète entière. Il faut être aujourd’hui dans "qu’est-ce qu’on fait maintenant", dans "demain". Pour plus que ces gamins ne se mettent à crier pendant la minute de silence, pour plus qu’on raconte n’importe quoi sur les réseaux sociaux… Ça passe par plein de choses : avoir affaire à des adultes concernés, avertis, qui les raccrochent aux valeurs de la République. Qui leur font re-aimer la France, pour les mêmes raisons que moi. J’aime la France de toutes mes forces, je la défendrai corps et âme. La France c’est ma mère, on touche pas à ma mère. Lire toute l'interview... (Interview de Jamel dans 7 à 8 du 18 janvier 2015)
• "Mon père, quand il a vu le titre du film, il a dit 'Et pourquoi pas manger ta mère ?!'"
Jamel explique à quel point son père est important pour lui et à quel point il le respecte : "Comme le personnage, je n’ai pas envie de manger mon père. C’était un hommage à mon père pratiquement ce film parce que je suis tellement respectueux et tellement conscient du sacrifice qu’ils ont fait en se déracinant de leur pays d’origine, en venant ici, en faisant tous ces sacrifices pour que nous on vive mieux. J’avais pas envie de manger mon père. Je déteste cette expression « tuer le père ». Je pense qu’on n’a pas besoin de tuer son père pour exister. Moi je n’ai pas envie de le tuer mon père, ni de le manger, j’ai envie de lui dire combien je suis respectueux du sacrifice qu’il a fait." Puis, Jamel continue son interview en parlant de sa mère : "Ma mère elle a cette particularité quand elle rit, c’est de se cacher. Elle n’aime qu’on la voit." explique-t-il ainsi avant d'ajouter "C’est vrai qu’elle m’a toujours soutenu, et toujours dans le rire. Toujours avec le rire et toujours avec l’humilité qui la caractérise. J’adore ma mère qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !" (Interview de Jamel dans l'émission "Sortez du Cadre" du 28 avril 2015)
Ils parlent de lui …
• Jamel Debbouze, nouveau tycoon de la cité impériale
S'il n'était qu'une star marocaine, ce serait incontestablement Jamel Debbouze, qui ne peut se déplacer dans Marrakech sans susciter la passion, surtout des plus jeunes. Il le répète à chacun qui l'interroge : il se plaît au Maroc où il "ne ressent que des énergies positives". Il a pu s'en assurer lors de la projection d'Astérix et Obélix : mission Cléopâtre sur un écran géant installé place Jemaa el-Fna dans la nuit du 20 septembre. Plusieurs centaines de jeunes spectateurs lui ont fait une ovation après qu'il les a assurés, en arabe et en français, de son bonheur d'être là. Le lendemain, dans les jardins d'une maison de la palmeraie transformés en décor hollywoodien, le ton était tout aussi enjoué pour annoncer la création, au premier semestre 2004, à quatorze kilomètres au sud de la ville, des Studios cinématographiques du Maroc, une initiative qu'il a prise en compagnie de deux amis, l'ancien ministre marocain du tourisme et grande figure de la communauté juive locale, Serge Berdugo, et le producteur Alex Berger. [...] Lire la suite ... (Le Monde)
• Alain Chabat dans l'année du cinéma
En même temps, l'un des grands bonheurs de votre Astérix, c'est Jamel. On sent une grande complicité entre vous …
Alain Chabat : Parler de Jamel, c'est difficile. On a l'impression de dire des banalités, alors que tout est vrai en ce qui le concerne. Il est vraiment incroyablement marrant, il sort de très bonnes blagues tout le temps ( même si ça nous arrive, mais oui ! de parler très sérieusement ), et il est extrêmement généreux. J'en parlais l'autre jour avec Kader [ Aoun, collaborateur de Chabat sur Burger Quiz et de Jamel depuis H ] . Il a par exemple la réputation légendaire de poser des lapins, mais le jour où c'est vraiment indispensable qu'il soit là, le jour où il sent juste à votre voix, juste au message que vous lui laissez, que vous avez un petite coup de mou, hop !il est là. J'adore comme il fait kiffer tout le monde. Il quitte une table pleine d'invités et quelques minutes après , un mec arrive, qui offre je ne sais quoi. Ça c'est Jamel ! On ne compte plus le nombre de petits gestes comme ça, pour rien, et de grandes fêtes … C'est, pour son entourage, le champion du monde du plaisir gratuit. J'aime sa manière de vivre pleinement et sereinement sa réussite et le blé qui va avec. " Oui, je kiffe mon succès, oui, je m'achète des costards et des voitures ; oui, je fais des teufs … "Il a une vraie rock star attitude. Je trouve limite qu'on lui demande toujours : " vous trouvez normal de gagner autant ? " Il a raison, on ne le demande pas aussi souvent aux autres acteurs. Ça finit par être suspect …[...] Lire la suite ... (Studio N° hors série 2002)
• Un enfant de Coluche
Jamel Debbouze paie de sa personne lorsqu'il s'agit d'encourager le football club de Trappes en compagnie d'un inénarrable supporter. Non content de soutenir de la voix et du geste une équipe dont la victoire sur Viry-Châtillon prend des allures de finale de Coupe du Monde, le " président " se démène pour trouver des aides, des sponsors. " Vous savez, explique-t-il à Jean-Claude Darmon, le grand manitou des droits sportifs, et à Laurent Perpère, le président du PSG, les gamins ont besoin que des gens comme vous s'intéressent à eux. C'est tout simple, il faut les aimer. "
Apparemment, il obtiendra les maillots, les aides dont il a besoin. Pour la bonne cause, son copain Anelka est venu appuyer sa démarche. En observant Jamel défendre ainsi la cause des jeunes à l'abandon, on se dit qu'outre le talent comique, Coluche a, pour ce don-là aussi, trouvé un lui un vrai héritier. [...] Lire l'article ... (Télé Ciné Obs Décembre 2002)
• Les enfants à l'honneur et le football à l'Heure marocaine
Créée en 1954, l'association de bienfaisance l'Heure Joyeuse est reconnue d'utilité publique. " Lever des fonds pour le fonctionnement d'un centre d'insertion et de formation des enfants en situation précaire est notre priorité ", explique Mohamed Sirti, administrateur du foyer. Le show sportif a pour objectif principal de promouvoir le travail de l'association par l'intermédiaire médiatique de Jamel Debbouze. " Nous tenons encore à le remercier pour toute l'aide qu'il nous a apporté ". En réunissant tous ces joueurs, Jamel Debbouze a réussi à donner une dimension internationale à cet événement. Le Maroc sera le centre footballistique du monde pendant une journée. Les joueurs n'ont pas hésité à prendre sur leur temps libre pour accompagner Jamel. [...] Connu pour son engagement au Maroc, Jamel Debbouze œuvre, à sa manière, à l'essor du pays. Prenant ses responsabilités au sérieux, l'humoriste a pu convaincre les footballeurs de le soutenir dans sa démarche. [...] Lire l'article ... (www.afrik.com)
• Jamel Debbouze : 150 000 euros au profit de l'Heure Joyeuse
Jamel a un cœur énorme et l'idée était de voir comment il pouvait rendre service dans son pays. Il fallait collecter des fonds de façon rapide et importante. La solution a été de le faire à travers des produits qu'on allait développer à l'effigie de Jamel, dessinés et validés par lui. Le projet a été monté en six mois environ et en quinze jours, on a pu vendre les 10.000 paires Reebok Jamel conçues pour cette opération. 100% des bénéfices enregistrés sur cette opération ont été versés à l'association l'Heure joyeuse. J'espère reproduire la même action avec d'autres associations et d'autres personnes qui voudront aider. Car en multipliant les efforts, beaucoup de choses pourront être réalisées et tant mieux si c'est bénéfique pour les enfants. (Stéphane Grimault)
Je suis très contente aujourd'hui, car la société civile fait de grands pas en avant. Donner le sourire à un enfant est une chose magnifique. L'initiative de Jamel est excellente. De telles occasions nous montre que dans notre pays, des gens cherchent à obtenir de bons résultats qui nous feront rejoindre la cour des grands et qui assureront aux futurs générations, un lendemain meilleur. A partir d'une simple idée, plusieurs projets pourront voir le jour. Mise à part ce succès, un autre exploit a été enregistré à savoir la validation de la société mère aux Etats Unis, du mot espoir inscrit en arabe sur les chaussures de sport. (Naima Lamcharqui) Lire l'article ... (Yabiladi.com)
• Mélissa Theuriau : "Jamel Debbouze a douté énormément. Et ça m'a beaucoup touchée"
Mélissa s'est confié sur le Jamel qu'elle a (re)découvert en tournage : "J'ai découvert davantage le doute qui l'habite. Même si j'en étais consciente avant, ça m'a touchée. Et parfois ça m'a effrayée pour lui. Parce que dans un projet de si longue haleine, on passe par beaucoup d'étapes, et même si le film parle de confiance en soi, il a douté énormément". Mais ce n'est pas tout. "J'ai aussi été touchée de le voir naître en tant que metteur en scène et réalisateur. Il a été incroyable avec nous. Il a été respectueux et bienveillant avec chacun. Il a valorisé chacun d'entre nous même quand il n'obtenait pas ce qu'il voulait. Il a su aller chercher autrement ce qu'il fallait pour nous diriger. Et ça c'est preuve d'une grande intelligence. Je le savais, mais d'y assister là, ça a été très émouvant". [...] (Interview de Mélissa Theuriau pour Pure Break, le 31 mars 2015)
• Cette faculté d’intégrer l’Art de l’improvisation jamélienne au Trivium de Cassiodore a enthousiasmé Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l'Education, qui voit elle aussi en Jamel Debbouze une sorte de nouveau philosophe de l’époque.
"L’improvisation théâtrale est une activité extrêmement intéressante y compris d’ailleurs pour mieux maitriser la langue française. Jamel est quelqu'un pour qui j'ai beaucoup d'admiration […]. De ce fait, il peut avoir une parole auprès des jeunes qui porte, parce que c'est quelqu'un de très engagé qui ne s'en est jamais simplement tenu à son rôle d'humoriste mais qui est capable d'avoir une parole forte sur des sujets de société[…]. L'improvisation est une façon d'apprendre à vivre ensemble". (Najat Vallaud-Belkacem, Avril 2015)
Découvert à la fin des années 90, l’humoriste ne se cantonne plus à de simples vannes. Il fait partie des comiques qui ont su conquérir le public et aller toujours plus loin. Jamel Debbouze est un brillant touche-à-touche, que ce soit au cinéma, sur scène ou dans les locaux des associations qu’il soutient. Retour sur cinq facettes de la riche carrière d’un humoriste engagé.
1. L’humoriste
Son premier spectacle, «C’est tout neuf», date de 1995. Depuis, Jamel a eu le temps de nous faire beaucoup rire. Notamment dans la série «H», aux côtés d’Eric et Ramzy, de 1998 à 2002, puis dans le film «Le ciel, les oiseaux… et ta mère !» de Djamel Bensalah en 1999. Suivent de nombreux one-man shows, comme «Tout sur Jamel» en 2011 qui se joue à guichets fermés. Il prête également sa voix à de nombreux personnages de films d’animation, souvent très drôles, comme le lémurien Zini dans «Dinosaure» (2000) et se montre hilarant dans «Astérix et Obélix Mission Cléopâtre» en 2002 et dans «Le Marsupilami» en 2014.
2. L’acteur
Mais non, Jamel n’est pas qu’un petit rigolo. Son talent d’acteur a été remarqué et récompensé à plusieurs reprises. De ses débuts dans le court-métrage «Les pierres bleues du désert», de Nabil Ayouch, récompensé par le prix Canal+ du court-métrage, à sa prestation remarquée dans « La Marche » de Nabil ben Yadir en 2013, il a souvent surpris. «Amélie Poulain», «Angel-A», «Parlez-moi de la pluie» ou le superbe Indigènes» en 2006 pour lequel il obtient le Prix d’interprétation à Cannes (aux côtés de Roschdy Zem, Samy Naceri, Sami Bouajila et Bernard Blancan) sont autant de films qui ont contribué à imposer le Franco-marocain dans le petit monde du septième art.
3. Le découvreur de talents
Le Jamel Comedy Club nait en juillet 2006 sous la forme d’une émission de 26 minutes diffusée chaque semaine sur Canal+. Jamel, dans le rôle du chauffeur de salle, y fait découvrir de nombreux humoristes. La troupe s’installe au Casino de Paris fin janvier 2007 puis dans son propre théâtre sur les Grands Boulevards en avril 2008. Jamel présente à son public les jeunes talents qu’il repère tout en programmant des concerts prestigieux comme ceux de Stevie Wonder ou des Black Eyed Peas. Egalement décliné sous la forme d’une série de huit épisodes («Inside Jamel Comedy Club»), le concept a servi de tremplin à beaucoup de comiques, comme Nawell Madani («C’est moi la plus belge !»).
4. Le réalisateur
Créateur du festival «Marrakech pour rire», devenu un rendez-vous incontournable de l’humour, Jamel Debbouze est récemment passé de l’autre côté de la caméra. Il supervise l’adaptation de «Pourquoi j’ai mangé mon père», le roman de Roy Lewis. La sortie de ce film, le premier intégralement tourné en motion capture en France, a eu lieu le 8 avril 2015 sous le titre «Pourquoi j’ai pas mangé mon père». C’est sa femme Mélissa Theuriau, journaliste et productrice, qui prête sa voix à l’héroïne. Le but de Jamel : y aborder le thème universel de «l’entente entre les hommes» (France 3).
5. L’engagé
Son succès, Jamel Debbouze le doit en grande partie à Alain Degois dit «Papy». Rencontré à Trappes, cet éducateur organise des ateliers d’improvisation dans les collèges et les lycées et repère le potentiel du jeune garçon. Ces actions de proximité sont pour Jamel la solution idéale pour sortir les banlieues de leur isolement. Le comédien, déjà parrain de l’Heure Joyeuse, une association qui agit contre la pauvreté au Maroc, et d’associations qui luttent pour l’insertion des handicapés dans la société comme l’AGEFIPH, a réaffirmé ses convictions au lendemain des attentats de Charlie Hebdo. Dans Sept à Huit, la France a eu l’occasion de découvrir l’âme très engagée du comédien.
1. L’humoriste
Son premier spectacle, «C’est tout neuf», date de 1995. Depuis, Jamel a eu le temps de nous faire beaucoup rire. Notamment dans la série «H», aux côtés d’Eric et Ramzy, de 1998 à 2002, puis dans le film «Le ciel, les oiseaux… et ta mère !» de Djamel Bensalah en 1999. Suivent de nombreux one-man shows, comme «Tout sur Jamel» en 2011 qui se joue à guichets fermés. Il prête également sa voix à de nombreux personnages de films d’animation, souvent très drôles, comme le lémurien Zini dans «Dinosaure» (2000) et se montre hilarant dans «Astérix et Obélix Mission Cléopâtre» en 2002 et dans «Le Marsupilami» en 2014.
2. L’acteur
Mais non, Jamel n’est pas qu’un petit rigolo. Son talent d’acteur a été remarqué et récompensé à plusieurs reprises. De ses débuts dans le court-métrage «Les pierres bleues du désert», de Nabil Ayouch, récompensé par le prix Canal+ du court-métrage, à sa prestation remarquée dans « La Marche » de Nabil ben Yadir en 2013, il a souvent surpris. «Amélie Poulain», «Angel-A», «Parlez-moi de la pluie» ou le superbe Indigènes» en 2006 pour lequel il obtient le Prix d’interprétation à Cannes (aux côtés de Roschdy Zem, Samy Naceri, Sami Bouajila et Bernard Blancan) sont autant de films qui ont contribué à imposer le Franco-marocain dans le petit monde du septième art.
3. Le découvreur de talents
Le Jamel Comedy Club nait en juillet 2006 sous la forme d’une émission de 26 minutes diffusée chaque semaine sur Canal+. Jamel, dans le rôle du chauffeur de salle, y fait découvrir de nombreux humoristes. La troupe s’installe au Casino de Paris fin janvier 2007 puis dans son propre théâtre sur les Grands Boulevards en avril 2008. Jamel présente à son public les jeunes talents qu’il repère tout en programmant des concerts prestigieux comme ceux de Stevie Wonder ou des Black Eyed Peas. Egalement décliné sous la forme d’une série de huit épisodes («Inside Jamel Comedy Club»), le concept a servi de tremplin à beaucoup de comiques, comme Nawell Madani («C’est moi la plus belge !»).
4. Le réalisateur
Créateur du festival «Marrakech pour rire», devenu un rendez-vous incontournable de l’humour, Jamel Debbouze est récemment passé de l’autre côté de la caméra. Il supervise l’adaptation de «Pourquoi j’ai mangé mon père», le roman de Roy Lewis. La sortie de ce film, le premier intégralement tourné en motion capture en France, a eu lieu le 8 avril 2015 sous le titre «Pourquoi j’ai pas mangé mon père». C’est sa femme Mélissa Theuriau, journaliste et productrice, qui prête sa voix à l’héroïne. Le but de Jamel : y aborder le thème universel de «l’entente entre les hommes» (France 3).
5. L’engagé
Son succès, Jamel Debbouze le doit en grande partie à Alain Degois dit «Papy». Rencontré à Trappes, cet éducateur organise des ateliers d’improvisation dans les collèges et les lycées et repère le potentiel du jeune garçon. Ces actions de proximité sont pour Jamel la solution idéale pour sortir les banlieues de leur isolement. Le comédien, déjà parrain de l’Heure Joyeuse, une association qui agit contre la pauvreté au Maroc, et d’associations qui luttent pour l’insertion des handicapés dans la société comme l’AGEFIPH, a réaffirmé ses convictions au lendemain des attentats de Charlie Hebdo. Dans Sept à Huit, la France a eu l’occasion de découvrir l’âme très engagée du comédien.
"Du
Jamel par du Jamel !"
C'est un prénom d'origine arabe, et il signifie " beauté ".
Une histoire ...
Depuis maintenant une quinzaine d'années, la plupart des musulmans qu'ils soient africains, asiatiques, européens ou américains, ont à coeur de choisir pour leurs enfants des prénoms arabes. Cet attachement plonge ses ressources même à la racine de l'Islam, et reste, pour la diaspora, l'unique témoignage de son identité originelle.
Ce qui est dit des Jamel ...
Particulièrement efficaces dans le monde du commerce, ils s'épanouissent sur le terrain, dans le concret. Plus vendeurs que gestionnaires, ils sont faits pour le contact direct et les décisions rapides. Ce sont des tempéraments têtus et et rusés qui n'en font qu'à leur tête, même s'ils vous donnent l'impression de vous suivre. Hommes de combat, volontaires, ils sont aussi contestataires, et les échecs les stimulent.
Né le 18 Juin 1975, il est Gémeaux ...
Il est observateur et curieux. Son sens de l'adaptation lui permet de contourner bien des obstacles. Il aime le changement, la nouveauté et agit promptement. Leur besoin de voyager, de communiquer, échanger est insatiable. Mais le gémeaux a aussi tendance à se disperser et à ne pas terminer ce qu'il a commencé. Il gaspille son énergie et connaît des phases de dépression. Côté coeur, c'est un grand séducteur qui aime garder sa liberté et qui joue entre amour et amitié.
Il y a une bonne entente avec les Verseau, Balance et Cancer, tandis que la relation est difficile avec les Taureau, Poisson et Capricorne.
Son signe chinois est le Chat ...
Le chat est doué, réservé, discret et raffiné. Il parle bien et sait se mettre en valeur. C'est un mondain qui aime recevoir. Il est quelque fois pédant et fait étalage de sa culture. Le caht est calme, placide et pacifique. C'est un conservateur qui déteste tout ce qui peut trouver sa quiétude. Il a un grand besoin de confort et de sécurité. Droit en affaire, il n'a pas l'esprit de la famille, il se détache facilement de ses proches.
Il y a une bonne entente avec la Chèvre et le Chienr, tandis que la relation est difficile avec le coq et le rat.
C'est un prénom d'origine arabe, et il signifie " beauté ".
Une histoire ...
Depuis maintenant une quinzaine d'années, la plupart des musulmans qu'ils soient africains, asiatiques, européens ou américains, ont à coeur de choisir pour leurs enfants des prénoms arabes. Cet attachement plonge ses ressources même à la racine de l'Islam, et reste, pour la diaspora, l'unique témoignage de son identité originelle.
Ce qui est dit des Jamel ...
Particulièrement efficaces dans le monde du commerce, ils s'épanouissent sur le terrain, dans le concret. Plus vendeurs que gestionnaires, ils sont faits pour le contact direct et les décisions rapides. Ce sont des tempéraments têtus et et rusés qui n'en font qu'à leur tête, même s'ils vous donnent l'impression de vous suivre. Hommes de combat, volontaires, ils sont aussi contestataires, et les échecs les stimulent.
Né le 18 Juin 1975, il est Gémeaux ...
Il est observateur et curieux. Son sens de l'adaptation lui permet de contourner bien des obstacles. Il aime le changement, la nouveauté et agit promptement. Leur besoin de voyager, de communiquer, échanger est insatiable. Mais le gémeaux a aussi tendance à se disperser et à ne pas terminer ce qu'il a commencé. Il gaspille son énergie et connaît des phases de dépression. Côté coeur, c'est un grand séducteur qui aime garder sa liberté et qui joue entre amour et amitié.
Il y a une bonne entente avec les Verseau, Balance et Cancer, tandis que la relation est difficile avec les Taureau, Poisson et Capricorne.
Son signe chinois est le Chat ...
Le chat est doué, réservé, discret et raffiné. Il parle bien et sait se mettre en valeur. C'est un mondain qui aime recevoir. Il est quelque fois pédant et fait étalage de sa culture. Le caht est calme, placide et pacifique. C'est un conservateur qui déteste tout ce qui peut trouver sa quiétude. Il a un grand besoin de confort et de sécurité. Droit en affaire, il n'a pas l'esprit de la famille, il se détache facilement de ses proches.
Il y a une bonne entente avec la Chèvre et le Chienr, tandis que la relation est difficile avec le coq et le rat.
Alain Degois, alias Papy, est une personne très chère à Jamel. Quand Papy parle de Jamel... ;)
La découverte
"Nous sommes à l'automne 1990 et j'anime depuis quelques mois un atelier d'improvisation théâtrale au collège Gustave-Courbet de Trappes. Un jour, alors que je répète avec mes élèves, je repère un jeune type qui nous regarde travailler depuis une passerelle. Comme il se paye ouvertement notre tête, je lui réponds en l'invitant à venir nous rejoindre pour montrer ce qu'il a dans le ventre. C'était Jamel. Il relève le défi et, tout de suite, semble être à sa place, un hasard incroyable ! Il trouve du plaisir à jouer et dispose déjà de toutes les qualités pour faire de la scène en général et de l'impro en particulier : rapidité d'esprit, tchatche, art de la repartie, intelligence du plateau, sens du rapport au public, de l'espace, du timing. Mais il doit travailler et maîtriser sa diction en débit mitraillette.
Capitaine de l'équipe d'impro junior
Je lui paye donc des cours avec une orthophoniste. En quelques mois, c'est un assidu de l'atelier. À Trappes, il y a alors six cents élèves en impro, tous ateliers confondus, c'est dire s'il faut de la personnalité pour sortir du lot comme lui ! Avec son énergie incroyable, il devient vite le capitaine de l'équipe d'impro junior de la ville que j'emmène disputer les championnats de France à Marcq-en-Barœul en 1991 puis les championnats du monde un an plus tard, à Montréal. Cet espace d'expression était vital pour lui, alors que pour le plus grand nombre, c'est juste un amusement.
Montée en confiance
Quand Jamel montait sur scène, il jouait sa vie. Enfin, il avait l'impression d'exister, d'être considéré, lui le Maghrébin, petit, handicapé, pas très bon élève. Il avait besoin de prendre confiance. Un exemple : un jour, ma femme, prof de français, nous a fait faire une dictée. Jamel a été sidéré de voir qu'il était de nous tous, celui qui avait fait le moins de fautes. Dès lors, écrire ses textes est devenu moins compliqué pour lui. On s'est construits ensemble.
Transmettre
Si je l'ai découvert, lui a fait de moi un metteur en scène en me demandant de régler son premier spectacle en 1995, grâce auquel il s'est fait repérer par Radio Nova. Plus tard, avec le Jamel Comedy Club, j'ai su qu'il voulait faire pour la génération suivante ce que j'avais fait avec lui au début : transmettre et donner leur chance aux moins favorisés. Il a poursuivi en créant le Trophée d'impro culture & diversité. On ne s'est jamais quittés, pour toujours, je reste son Papy et lui mon Jamel."
Retrouvez une bio de Papy, des infos sur Déclic Théâtre et AD2 Productions sur la page Déclic Théâtre.
La découverte
"Nous sommes à l'automne 1990 et j'anime depuis quelques mois un atelier d'improvisation théâtrale au collège Gustave-Courbet de Trappes. Un jour, alors que je répète avec mes élèves, je repère un jeune type qui nous regarde travailler depuis une passerelle. Comme il se paye ouvertement notre tête, je lui réponds en l'invitant à venir nous rejoindre pour montrer ce qu'il a dans le ventre. C'était Jamel. Il relève le défi et, tout de suite, semble être à sa place, un hasard incroyable ! Il trouve du plaisir à jouer et dispose déjà de toutes les qualités pour faire de la scène en général et de l'impro en particulier : rapidité d'esprit, tchatche, art de la repartie, intelligence du plateau, sens du rapport au public, de l'espace, du timing. Mais il doit travailler et maîtriser sa diction en débit mitraillette.
Capitaine de l'équipe d'impro junior
Je lui paye donc des cours avec une orthophoniste. En quelques mois, c'est un assidu de l'atelier. À Trappes, il y a alors six cents élèves en impro, tous ateliers confondus, c'est dire s'il faut de la personnalité pour sortir du lot comme lui ! Avec son énergie incroyable, il devient vite le capitaine de l'équipe d'impro junior de la ville que j'emmène disputer les championnats de France à Marcq-en-Barœul en 1991 puis les championnats du monde un an plus tard, à Montréal. Cet espace d'expression était vital pour lui, alors que pour le plus grand nombre, c'est juste un amusement.
Montée en confiance
Quand Jamel montait sur scène, il jouait sa vie. Enfin, il avait l'impression d'exister, d'être considéré, lui le Maghrébin, petit, handicapé, pas très bon élève. Il avait besoin de prendre confiance. Un exemple : un jour, ma femme, prof de français, nous a fait faire une dictée. Jamel a été sidéré de voir qu'il était de nous tous, celui qui avait fait le moins de fautes. Dès lors, écrire ses textes est devenu moins compliqué pour lui. On s'est construits ensemble.
Transmettre
Si je l'ai découvert, lui a fait de moi un metteur en scène en me demandant de régler son premier spectacle en 1995, grâce auquel il s'est fait repérer par Radio Nova. Plus tard, avec le Jamel Comedy Club, j'ai su qu'il voulait faire pour la génération suivante ce que j'avais fait avec lui au début : transmettre et donner leur chance aux moins favorisés. Il a poursuivi en créant le Trophée d'impro culture & diversité. On ne s'est jamais quittés, pour toujours, je reste son Papy et lui mon Jamel."
Retrouvez une bio de Papy, des infos sur Déclic Théâtre et AD2 Productions sur la page Déclic Théâtre.