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"Zonzon",
c'est la confrontation entre trois détenus issus de milieux sociaux
différents, une friction entre trois langages, entre trois cultures,
entre trois morales antagonistes...
Arnaud Grandjean, petit bourgeois en détention préventive pour un petit trafic de cannabis et jeune étudiant issu d'un milieu aisé va côtoyer durant six mois Francky, silencieux mais respecté, accusé de braquage et d'homicide, condamné à une peine de dix ans, et Kader, déconneur mais dur, un délinquant multirécidiviste d'origine maghrébine, condamné à deux ans pour vol en flagrant délit.
Pour ces trois hommes que rien, sinon, la "ZONZON" ne pouvait rapprocher, obligés de vivre ensemble dans leur cellule étroite, la cohabitation va provoquer des confrontations dérisoires, dramatiques, parfois drôles, indispensables pour comprendre ce qu'est la liberté...
Arnaud Grandjean, petit bourgeois en détention préventive pour un petit trafic de cannabis et jeune étudiant issu d'un milieu aisé va côtoyer durant six mois Francky, silencieux mais respecté, accusé de braquage et d'homicide, condamné à une peine de dix ans, et Kader, déconneur mais dur, un délinquant multirécidiviste d'origine maghrébine, condamné à deux ans pour vol en flagrant délit.
Pour ces trois hommes que rien, sinon, la "ZONZON" ne pouvait rapprocher, obligés de vivre ensemble dans leur cellule étroite, la cohabitation va provoquer des confrontations dérisoires, dramatiques, parfois drôles, indispensables pour comprendre ce qu'est la liberté...
Production
: Playtime
Réalisation : Laurent BouhnikSelect
Scénario : Laurent Bouhnik
Photographie : Gilles Henry
Musique : Jérôme Coullet
Montage : Hervé de Luze (102 minutes)
Budget : 4 millions d'Euros
Jouent dans ce film :
- Pascal Grégory : Francky
- Gaël Morel : Grandjean
- Jamel Debbouze : Kader
- Fabienne Babe : Christine
- Elodie Bouchez : L'espagnole
Réalisation : Laurent BouhnikSelect
Scénario : Laurent Bouhnik
Photographie : Gilles Henry
Musique : Jérôme Coullet
Montage : Hervé de Luze (102 minutes)
Budget : 4 millions d'Euros
Jouent dans ce film :
- Pascal Grégory : Francky
- Gaël Morel : Grandjean
- Jamel Debbouze : Kader
- Fabienne Babe : Christine
- Elodie Bouchez : L'espagnole
Zonzon
est la rencontre de 3 hommes que tout sépare et qui apprennent
à vivre ensemble, dans 9 m². Au final, les 3 connaîtront le sens du mot liberté, en perdant
au passage toutes leurs illusions sur la vie et les hommes.
Il en ressort un film au caractère grave. Laurent Bouhnik nous entraîne dans le milieu carcéral sans pudeur, mais sans voyeurisme. On comprend mieux que ceux qui sont sans argent auront plus de difficultés à vivre dans ce lieu où sont envoyés les exclus de la société.
Pourtant, le message est optimiste. Tous les personnages évoluent, connaissent une révélation. Frankie a une forme de de racisme larvé. Cet homme blessé, revenu de tout, qui a été trahi par son meilleur ami et par sa femme, va rencontrer Kader et apprendre à le connaître, puis à le reconnaître. Grandjean est un personnage que la prison aide à mûrir : en sortant, on imagine bien qu'il va réfléchir sur sa vie, sur la signification de ses actes. Le personnage de Kader véhicule une énorme envie de vivre avec un humour qui désamorce la violence et la crée aussi parfois.
Bref, Zonzon est un film plein de vie, avec sa violence, avec sa poésie, avec sa sexualité sous-jacente et omniprésente.
Il en ressort un film au caractère grave. Laurent Bouhnik nous entraîne dans le milieu carcéral sans pudeur, mais sans voyeurisme. On comprend mieux que ceux qui sont sans argent auront plus de difficultés à vivre dans ce lieu où sont envoyés les exclus de la société.
Pourtant, le message est optimiste. Tous les personnages évoluent, connaissent une révélation. Frankie a une forme de de racisme larvé. Cet homme blessé, revenu de tout, qui a été trahi par son meilleur ami et par sa femme, va rencontrer Kader et apprendre à le connaître, puis à le reconnaître. Grandjean est un personnage que la prison aide à mûrir : en sortant, on imagine bien qu'il va réfléchir sur sa vie, sur la signification de ses actes. Le personnage de Kader véhicule une énorme envie de vivre avec un humour qui désamorce la violence et la crée aussi parfois.
Bref, Zonzon est un film plein de vie, avec sa violence, avec sa poésie, avec sa sexualité sous-jacente et omniprésente.