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Claudia Tagbo est née en 1973 à Abidjan en Côte d'Ivoire et est une comédienne et humoriste française. Elle a grandi à Alès, dans le Gard. Elle découvre le théâtre dès son plus jeune âge et commence à s'y intéresser. Après avoir obtenu son baccalauréat, elle s'inscrit en faculté en licence Arts du Spectacle, dans le but de devenir comédienne.
Au théâtre, elle a joué dans Appel à poète de Paul Éluard, L'Opérette Imaginaire de Valère Novarina et également dans Marisol de José Rivera.
Au cinéma, elle a joué dans Mama Aloco et La valse des gros derrières de Jean Odoutan et sera prochainement à l’affiche de Ma vie sans Meg Ryande Marc Gibaja et d'Avatar de Julien Leclercq.
À la télévision, on a pu la voir dans Fatou la malienne et Fatou l’espoir de Daniel Vigne, Ma meilleure amie d'Elisabeth Rappeneau ou encore Le tuteur d'Edouard Molinaro. Elle est aussi passée dans RIS, police scientifique dans le rôle de Martine Forest.
Elle a commencé en tant qu'humoriste dans l'émission Jamel Comedy Club.
En 2008, elle commence à jouer dans la mini-série Tongs et Paréos ainsi que dans la série afro de prévention « Toi-même tu sais » de J.G Biggs, écrite par Stéphane Pocrain pour l'Inpes.
De septembre 2010 à mars 2011, elle est chroniqueuse dans le Bureau des Plaintes de Jean-Luc Lemoine sur France 2.
Depuis novembre 2010, elle fait partie de l'équipe d'animateurs aux côtés d'Arthur dans l'émission Ce soir avec Arthur sur Comédie!.
En 2011, elle apparait dans la série humoristique "United Color of Jean-Luc" diffusée sur Comédie, au coté notamment d'Amelle Chahbi et Vincent Desagnat. Le co-auteur de cette série n'est autre que son acolyte du Jamel Comedy Club, Fabrice Eboué.
Au théâtre, elle a joué dans Appel à poète de Paul Éluard, L'Opérette Imaginaire de Valère Novarina et également dans Marisol de José Rivera.
Au cinéma, elle a joué dans Mama Aloco et La valse des gros derrières de Jean Odoutan et sera prochainement à l’affiche de Ma vie sans Meg Ryande Marc Gibaja et d'Avatar de Julien Leclercq.
À la télévision, on a pu la voir dans Fatou la malienne et Fatou l’espoir de Daniel Vigne, Ma meilleure amie d'Elisabeth Rappeneau ou encore Le tuteur d'Edouard Molinaro. Elle est aussi passée dans RIS, police scientifique dans le rôle de Martine Forest.
Elle a commencé en tant qu'humoriste dans l'émission Jamel Comedy Club.
En 2008, elle commence à jouer dans la mini-série Tongs et Paréos ainsi que dans la série afro de prévention « Toi-même tu sais » de J.G Biggs, écrite par Stéphane Pocrain pour l'Inpes.
De septembre 2010 à mars 2011, elle est chroniqueuse dans le Bureau des Plaintes de Jean-Luc Lemoine sur France 2.
Depuis novembre 2010, elle fait partie de l'équipe d'animateurs aux côtés d'Arthur dans l'émission Ce soir avec Arthur sur Comédie!.
En 2011, elle apparait dans la série humoristique "United Color of Jean-Luc" diffusée sur Comédie, au coté notamment d'Amelle Chahbi et Vincent Desagnat. Le co-auteur de cette série n'est autre que son acolyte du Jamel Comedy Club, Fabrice Eboué.
"CLAUDIA COMEDY GOSPEL"
Des fauteuils. Une ambiance cosy. Des murs rouges, une lumière tamisée. Le décor est planté. Noir. Silence. Un petit bout de femme s’avance. Et la « Comedy Gospel » de Claudia Tagbo peut commencer.
Pendant plus d’une heure, cette véritable boule d’énergie se moque de tout et surtout d’elle-même, traquant le ridicule partout, dans les scènes qui tapissent notre quotidien.
L’humoriste révélée par le Jamel Comedy Club et la série télé RIS Police Scientifique utilise ses défauts, ses angoisses et ses complexes, en assumant ses rondeurs, sa couleur de peau et sa langue surtout pas dans la poche. Claudia décrypte les différences culturelles et sociales en dressant le portrait d’une France à la fois métissée et conservatrice, tapant toujours juste.
Noirs, arabes, asiatiques, blancs, toutes les communautés sont passées au vitriol, à l’image de son public dans la salle où les bobos parisiens côtoient les banlieusards et les provinciaux.
Claudia revendique le droit d’être « Madame tout le monde », d’avoir le « popotin tellement lourd que les strapontins du métro reste toujours baissés », ou de « devoir prendre un RTT pour aller chez le coiffeur », utilisant son public avec un plaisir non dissimulé, choisissant un bouc émissaire au hasard dans la salle, pour donner encore plus de chair à ses propos.
Entre danse, chant, confessions, le tout agrémenté d’une playlist survoltée, le spectacle de Claudia se veut comme un show à l’américaine, convivial, interactif, où le public a son mot à dire.
« Alors qu’est ce que j’ai aujourd’hui » demande t’elle en observant ses invités, les spots allumés, scrutant son public comme sur un miroir, faisant des pronostics, analysant les situations avec une maîtrise de soi qui flirte souvent avec un sens de l’improvisation et un naturel réjouissant.
L’image de la bonne copine, de « la girl next door », comme on la surnommerait Outre Atlantique, à la bonne franquette, sans chichis, ni fausse modestie, n’épargnant personne, les hommes comme les femmes, les « mamas » Africaines, comme les « petits blancs » des beaux quartiers dans un show rondement mené.
« Une vraie femme de 2010 », comme s’en moque l’humoriste, qui n’a surtout pas peur d’être elle-même. Un régal.
Des fauteuils. Une ambiance cosy. Des murs rouges, une lumière tamisée. Le décor est planté. Noir. Silence. Un petit bout de femme s’avance. Et la « Comedy Gospel » de Claudia Tagbo peut commencer.
Pendant plus d’une heure, cette véritable boule d’énergie se moque de tout et surtout d’elle-même, traquant le ridicule partout, dans les scènes qui tapissent notre quotidien.
L’humoriste révélée par le Jamel Comedy Club et la série télé RIS Police Scientifique utilise ses défauts, ses angoisses et ses complexes, en assumant ses rondeurs, sa couleur de peau et sa langue surtout pas dans la poche. Claudia décrypte les différences culturelles et sociales en dressant le portrait d’une France à la fois métissée et conservatrice, tapant toujours juste.
Noirs, arabes, asiatiques, blancs, toutes les communautés sont passées au vitriol, à l’image de son public dans la salle où les bobos parisiens côtoient les banlieusards et les provinciaux.
Claudia revendique le droit d’être « Madame tout le monde », d’avoir le « popotin tellement lourd que les strapontins du métro reste toujours baissés », ou de « devoir prendre un RTT pour aller chez le coiffeur », utilisant son public avec un plaisir non dissimulé, choisissant un bouc émissaire au hasard dans la salle, pour donner encore plus de chair à ses propos.
Entre danse, chant, confessions, le tout agrémenté d’une playlist survoltée, le spectacle de Claudia se veut comme un show à l’américaine, convivial, interactif, où le public a son mot à dire.
« Alors qu’est ce que j’ai aujourd’hui » demande t’elle en observant ses invités, les spots allumés, scrutant son public comme sur un miroir, faisant des pronostics, analysant les situations avec une maîtrise de soi qui flirte souvent avec un sens de l’improvisation et un naturel réjouissant.
L’image de la bonne copine, de « la girl next door », comme on la surnommerait Outre Atlantique, à la bonne franquette, sans chichis, ni fausse modestie, n’épargnant personne, les hommes comme les femmes, les « mamas » Africaines, comme les « petits blancs » des beaux quartiers dans un show rondement mené.
« Une vraie femme de 2010 », comme s’en moque l’humoriste, qui n’a surtout pas peur d’être elle-même. Un régal.